“J’ai un peu ressenti le syndrome de l’imposteur quand j’ai pris les rênes de Caracole”, Karl Cook (2/3)
Qu’il s’agisse, en surface, de sa coupe de cheveux à la viking, mais aussi de son utilisation des réseaux sociaux, des activités qu’il mène en parallèle de sa carrière sportive, de son approche du sport, de sa manière d’appréhender sa position sociale ou de l’honnêteté déconcertante avec laquelle il s’adresse à ses interlocuteurs, Karl Cook est clairement un ovni dans le monde du saut d’obstacles. Nouvelle coqueluche du public, notamment depuis qu’il s’invite dans les plus belles remises de prix avec la géniale Caracole de la Roque, ancienne partenaire de Julien Épaillard, le charismatique Américain a crevé l’écran en 2024. Entre son ahurissante victoire dans le Grand Prix du CSIO 5* de Rome, sa deuxième place à La Baule et, évidemment, sa superbe première médaille décrochée aux Jeux olympiques de Paris, début août, le grand blond de trente-trois ans n’a pas fini de faire parler de lui. D’ailleurs, en 2028, c’est chez lui, en Californie, qu’a rendez-vous la famille olympique. Portrait.