“Dans une carrière, il faut savoir accepter de courir des plus petites épreuves pour pouvoir revenir plus fort”, Bryan Balsiger

Ancien jeune pilier de l’équipe de Suisse, l’ayant notamment intégrée aux Jeux olympiques de Tokyo, en 2021, et aux championnats d’Europe de Milan l’année dernière, Bryan Balsiger a récemment ouvert un nouveau chapitre de sa carrière. Après avoir mis un terme à une longue collaboration de sept ans avec les écuries des Verdets, qui lui avaient notamment confié les bons Clouzot de Lassus et Dubaï du Bois Pinchet, le cavalier de vingt-sept ans est désormais établi dans les écuries familiales, où il travaille de concert avec son père Thomas et son frère Ken. Pas reparti de zéro pour autant, le Suisse peut compter sur des montures prometteuses comme PSG Starlight et Castiel, qu’il espère engager dans de belles épreuves l’année prochaine. Entretien avec un cavalier réfléchi, qui a su “accepter de courir de plus petites épreuves pour pouvoir revenir plus fort”.



Comment allez-vous et comment vivez-vous la fin de votre saison extérieure? Je vais très bien! Je suis très content d’avoir pu participer au Morocco Royal Tour (cet entretien a été réalisé à Rabat, fin septembre, ndlr), car c’était la première fois. Ici, à Rabat, les infrastructures pour les chevaux sont vraiment de bonne qualité, tout comme le programme et les épreuves proposées. Il y a un an, fin 2023, votre carrière a connu un tournant car vous avez mis un terme à votre collaboration avec les écuries des Verdets, gérées par Olivier de Coulon, qui vous accompagnait depuis le début de votre émergence à haut niveau. ...

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