“Je réalise que perdurer au plus haut niveau est difficile, tant sur le plan financier qu’organisationnel”, Marie Pellegrin

Fin octobre, Marie Pellegrin a dit au revoir à Deuxcatsix d’Eglefin (SF, Vigo Cece x Bamako de Muze), un étalon de de onze ans avec qui elle a pu retrouver les CSI 5*, qui ont selon elle bien changé en une décennie. Après avoir été sélectionnée en Coupes des nations de CSIO 5* l’été passé et refusé de nombreuses offres, la Lyonnaise s’est résolue à se séparer du bai, parti pour la Grande-Bretagne, afin de pérenniser son système. La très franche cavalière de quarante-cinq ans évoque cette vente, le remodelage de son piquet de chevaux, ainsi que ses ambitions et son rapport au sommet du jumping mondial, dans un milieu qui devrait selon elle continuer à évoluer.



Pouvez-vous revenir sur la vente de votre cheval de tête, Deuxcatsix d’Eglefin, à la jeune Britannique Sophie Evans ? Vendre Deuxcatsix n’a pas été facile et n’était pas le plan initial. Je voulais vraiment essayer de retrouver le haut niveau l’année prochaine. Pour y parvenir, j’avais échangé avec Henk et Édouard (Nooren et Coupérie, le sélectionneur national et l’adjoint, ndlr) afin de prendre part à des Coupes des nations cet été et ainsi jauger notre progression. Je n’avais pris part à un 5* depuis dix ans et mes années avec Admirable (à qui la Rhônalpine a rendu un émouvant hommage dans un &eacu...

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