“Sans la Global Champions League, je n’aurais jamais eu la possibilité de sauter des Grands Prix 5* cette année”, Inès Joly (1/3)

Inès Joly, lauréate du Grand Prix 5* de Monte-Carlo début juillet, de façon aussi surprenante que méritée, est une jeune femme ancrée dans son époque, déterminée à tracer sa route jusqu’au plus haut niveau. Rencontrée fin septembre au Morocco Royal Tour, où elle s’est de nouveau illustrée en s’imposant dans le Grand Prix du CSI 4*-W de Tétouan puis a terminé deuxième du CSIO 4*-W de Rabat, l’amazone de vingt-sept ans a répondu avec sincérité, profondeur, intelligence, et un zeste d’humour à GRANDPRIX. De son engagement dans la décriée Global Champions League à son emménagement en Normandie, en passant par l’évolution de son partenaire de proue, Ambassador, et la terrible actualité, qui remet sur le devant de la scène les droits des femmes, la Rhônalpine n’a éludé aucune question.



Comment vivez-vous la fin de votre saison extérieure? C’est vraiment génial ce qu’il se passe ici, au Maroc (cet entretien a été réalisé le 29 septembre à Rabat, lors de la deuxième étape du Morocco Royal Tour, ndlr). J’y ai emmené mes meilleurs chevaux et ils ont tous ré­pondu présent dans les épreuves auxquelles ils étaient consacrés! C’est d’abord Bandit Savoie*Pegasus (SF, Qlassic Bois Margot x Alcamera de Moyon) qui a été à l’honneur dans le Grand Prix du CSI 4*-W de Tétouan (que le duo a remporté, ndlr), puis Ambassa­dor (Z, Aganix du Seigneur x Pablo van Ber­kenbroeck) a termin&eacut...

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