“Bustique n’était pas le plus spectaculaire, mais il sautait avec sérieux”, Michel Hendrix (2/2)

Le nom de Bustique commence à circuler dans les conversations des spécialistes de l’élevage. Et pour cause! Sur les trois derniers grands championnats qu’il a courus, dont les Jeux olympiques de Tokyo et de Paris, le bon Beauville a décroché à chaque fois le bronze individuel; une performance historique! Mais d’où vient donc ce petit cheval bai qui répond toujours présent pour son cavalier néerlandais Maikel van der Vleuten? D’un certain Bustique, justement, un illustre inconnu dans l’Hexagone, mais qui pourrait bien s’inviter dans le carnet de bal des éleveurs tricolores l’an prochain.



La première partie de cet article est disponible iciNé le 7 avril 2006 aux Pays-Bas, chez Henk van de Wijngaart et Hans Schipper, duo d’éleveurs réputé, Bustique fut inscrit au stud-book KWPN. Pourtant, il est le fruit de l’union du chef de race Holsteiner Indoctro et d’une souche maternelle Oldenbourg. “L’un de mes meilleurs chevaux, Baileys (KWPN, d’une mère par Come On), était un fils d’Indoctro”, raconte Michel Hendrix, justifiant ainsi le choix qu’il fit en 2008 en achetant le jeune entier. Né en 1990 chez Gerd Hansen, à Wiemerstedt, tout au nord de l’Allemagne, dans la région du Holstein, Indoctro a contribué à bâtir la lége...

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX ABONNÉS

Abonnez-vous pour 6,99€ par mois sans engagement
  • Accédez à tous les contenus payants de GRANDPRIX.info en illimité
  • Soutenez une équipe de journalistes passionnés et une rédaction indépendante

Nouveau chez GRANDPRIX ? Créez votre compte GRANDPRIX

Mot de passe perdu ? Réinitialiser mon mot de passe