“Nous pensons que la bride devrait rester obligatoire pour les JO et les autres grands championnats”, Klaus Roeser (2/2)

Dans un contexte sous tension pour le dressage, qui a connu de nombreux scandales et envers lequel le nombre de retours négatifs a augmenté en 2024, un temps a été consacré à la discipline lors de la session sur le “Plan d’action stratégique pour le bien-être équin” tenue dans le cadre de l’assemblée générale de la FEI, le 12 novembre. Directeur du dressage, du para-dressage et de la voltige au sein de l’instance, Ronan Murphy y est revenu sur la rencontre des parties prenantes du sport convoquées aux quartiers généraux de Lausanne le 1er octobre. Ces mêmes acteurs du dressage se sont aussi réunis les 5 et 6 novembre, après quoi les secrétaires généraux des Club des cavaliers (IDRC) et entraîneurs internationaux ont donné une conférence de presse. Entre thèmes abordés lors de ces différents événements, tels que les langues bleues ou le caractère obligatoire de la bride, modifications réglementaires et propositions non encore soumises au vote, GRANDPRIX tente de faire le point.