“Je n’ai pas envie d’être impliqué dans un comité ou une instance de la FEI” Andrew Nicholson (3/3)

Grande figure du concours complet qui s’est illustrée à partir du début des années 1980, Andrew Nicholson est l’un des cavaliers les plus titrés de tous les temps dans cette discipline. En l’espace de près de quarante ans de carrière, il s’est constitué un palmarès éloquent, comptabilisant trois médailles par équipes aux Jeux olympiques sur six participations, trois médailles – dont une individuelle – aux championnats du monde et plusieurs victoires en CCI 5*-L. Retiré du plus haut niveau depuis 2021, le Néo-Zélandais de soixante-trois ans continue de performer très occasionnellement jusqu’en 3*, en parallèle de ses activités de coaching, notamment auprès de l’équipe de Suisse. Pour GRANDPRIX, le champion a accepté de revenir sur sa carrière et sa nouvelle vie, offrant un regard acéré sur une discipline dont il a suivi l’évolution durant plus de quatre décennies.



La deuxième partie de cet entretien est disponible ici. Plus globalement, vous avez été témoin de l’évolution de votre discipline au fil des décennies. Quelle analyse en faites-vous?Le sport d’aujourd’hui n’a évidemment plus rien à voir avec ce qu’il était au début de ma carrière. Le point essentiel est la finesse acquise par les cavaliers dans leur manière de monter sur chacun des trois tests. Par ailleurs, la suppression du steeple et du routier a eu pour conséquence la multiplication des sites de compétition internationaux, puisque moins d’espace était nécessaire. Et les chevaux sont capables de participer à davantage d’&ea...

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