“C’est face aux épreuves que le lien entre propriétaire et cavalier se renforce”, Christian Baillet (2/2)

Les succès de Philippe Rozier ont aussi été les siens. Pendant plus de trente-cinq ans, Christian Baillet a soutenu le jeune soixantenaire en lui confiant des chevaux extraordinaires tels que Diane du Landey, Jadis de Toscane, Lauterbach, ou bien sûr le médaillé d’or olympique, Rahotep de Toscane. Alors que le Francilien prend part à l’ultime 5* de sa carrière cette semaine à Lyon, son fidèle soutien évoque cette décision, plus de trois décennies de joies et de peines, les chevaux qui ont marqué cette association, les relations entre cavalier et propriétaire, ou encore l’avenir de ses chevaux.



La première partie de cet entretien est en ligne ici. Quels ont été les plus grands moments de votre histoire commune avec Philippe Rozier? Bien sûr, nous avons connu de bons moments et des épreuves plus difficiles. Ce qu’il faut, c’est savoir tous les partager. En réalité, il m’est assez difficile d’en nommer quelques-uns… Je me souviens notamment d’une victoire à Genève, sur la grande piste de Palexpo. Philippe y montait une jument qui s’appelait Make My Day, mon premier achat pour ambitionner les Grands Prix. Lors de la Grande Chasse de Genève, une épreuve assez populaire (qui mélange vitesse, sauts dans le lac, obstacles fixes, ndlr), certains é...

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