“J’ai failli passer à côté de Caracole de la Roque car j’avais trop de chevaux”, Julien Épaillard (2/3)

À l’image de l’équipe de France, Julien Épaillard a connu une phase de transition en 2025. Si Donatello d’Auge a toujours été là et bien là, remportant notamment avec brio la finale de la Coupe du monde Longines en avril, à Bâle, le numéro un français a dû solidifier ses rangs. Rencontré samedi 13 décembre, au lendemain de la finale du Top 10 Rolex IJRC, le Normand évoque son sacre bâlois et son incertitude quant au fait de défendre son titre, la façon dont il choisit les chevaux qui lui sont proposés, ainsi que son système avec Séverin Sigaud et son fils Brieuc.  



“À ce jour, je ne suis pas sûr de participer à la finale de la Coupe du monde”

La première partie de cet entretien est en ligne ici.Huit mois après votre sacre dans la finale de la Coupe du monde de Bâle, que retenez-vous de cette expérience ? Votre statut a-t-il changé ? Honnêtement, je ne me préoccupe pas vraiment de mon statut, je fais mon chemin. À Bâle, c’était plutôt une victoire d’équipe pour les personnes qui travaillent à l’élevage et qui m’accompagnent au quotidien. Le plus beau dans ce succès, c’est peut-être le collectif qui m’entoure, surtout avec un cheval né chez nous. Je n’ai vraiment pas pris cet accomplissement pour quelque chose de personnel, mais plutôt comme une bonne manière...

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