’’Savourer cette victoire’’, Gregory Wathelet
Dimanche, Gregory Wathelet s’est adjugé le Grand Prix lors de l’édition 2017 du CHIO d’Aix-la-Chapelle. Un rêve qui s’est réalisé pour le Belge, qui a vu son nom rejoindre le mythique tableau d’honneur du stade de la Soers. Il revient sur son exploit.
Comment avez-vous vécu ce Grand Prix ?
Gregory Wathelet : C’était tout simplement fantastique. L’ambiance d’Aix-la-Chapelle n’a pas d’égale, le public est incomparable. Lorsque l’on rentre dans ce stade, ce que l’on ressent est unique, cela n’a rien à voir avec les autres concours auxquels on participe chaque week-end. Tout le monde sait à l’avance que le Grand Prix est un challenge particulier et cette édition n’a pas échappé à la règle. Les chevaux doivent être sûrs d'eux et de leurs moyens. J’éprouve une grande fierté pour ma jument. Je ne pense pas que l’on puisse mettre ce résultat sur le compte de la chance. Je suis simplement convaincu que Corée a sauté de manière exceptionnelle. Cette victoire, c’est un cadeau de sa part. Grâce à elle, mon nom sera inscrit à jamais sur ce grand tableau d’honneur en entrée de piste, c’est le plus beau cadeau que j’aie jamais reçu.
À quel moment avez-vous compris que ce dimanche pourrait bien être votre jour ?
G. W. : Honnêtement, pas avant que la dernière cavalière, Laura Kraut, n’ait franchi le dernier obstacle du barrage. Tout est resté ouvert jusqu’au bout, tous les cavaliers étaient surmotivés. Les Grands Prix du Grand Chelem sont les plus beaux, mais aussi les plus difficiles au monde et cela ne suffit pas de livrer 100% de soi-même. C’est à 500% qu’il faut se donner, en espérant que cela suffise. On l’a fait !
Cette victoire signifie pour vous le début de votre propre Grand Chelem, à la conquête du bonus réservé au vainqueur des trois Grands Prix. Quelle est désormais votre feuille de route ?
G. W. : Le Grand Chelem est un énorme défi pour nous, cavaliers. Je suis convaincu que c’est le rêve de tout cavalier que de décrocher un Grand Chelem et inutile de préciser que je vais tout faire pour préparer au mieux l’échéance du prochain Grand Prix. Mais pour le moment, je veux savourer cette victoire, ici, à Aix-la-Chapelle. Je vais attendre les prochains jours pour établir mes plans avec mon équipe pour Calgary.
Vous fêterez votre anniversaire le 10 septembre prochain, jour du Grand Prix de Calgary : une deuxième victoire en Majeur ne serait-elle pas un cadeau d’anniversaire idéal ?
G. W. : Évidemment ! (rires) Mais comme je viens de dire, pour le moment, je veux d’abord profiter de cette victoire à Aix. Nous verrons ensuite comment les choses vont se décanter. Mais une chose est sûre, je vais assurément fêter mon anniversaire à Calgary cette année.
Gregory Wathelet : C’était tout simplement fantastique. L’ambiance d’Aix-la-Chapelle n’a pas d’égale, le public est incomparable. Lorsque l’on rentre dans ce stade, ce que l’on ressent est unique, cela n’a rien à voir avec les autres concours auxquels on participe chaque week-end. Tout le monde sait à l’avance que le Grand Prix est un challenge particulier et cette édition n’a pas échappé à la règle. Les chevaux doivent être sûrs d'eux et de leurs moyens. J’éprouve une grande fierté pour ma jument. Je ne pense pas que l’on puisse mettre ce résultat sur le compte de la chance. Je suis simplement convaincu que Corée a sauté de manière exceptionnelle. Cette victoire, c’est un cadeau de sa part. Grâce à elle, mon nom sera inscrit à jamais sur ce grand tableau d’honneur en entrée de piste, c’est le plus beau cadeau que j’aie jamais reçu.
À quel moment avez-vous compris que ce dimanche pourrait bien être votre jour ?
G. W. : Honnêtement, pas avant que la dernière cavalière, Laura Kraut, n’ait franchi le dernier obstacle du barrage. Tout est resté ouvert jusqu’au bout, tous les cavaliers étaient surmotivés. Les Grands Prix du Grand Chelem sont les plus beaux, mais aussi les plus difficiles au monde et cela ne suffit pas de livrer 100% de soi-même. C’est à 500% qu’il faut se donner, en espérant que cela suffise. On l’a fait !
Cette victoire signifie pour vous le début de votre propre Grand Chelem, à la conquête du bonus réservé au vainqueur des trois Grands Prix. Quelle est désormais votre feuille de route ?
G. W. : Le Grand Chelem est un énorme défi pour nous, cavaliers. Je suis convaincu que c’est le rêve de tout cavalier que de décrocher un Grand Chelem et inutile de préciser que je vais tout faire pour préparer au mieux l’échéance du prochain Grand Prix. Mais pour le moment, je veux savourer cette victoire, ici, à Aix-la-Chapelle. Je vais attendre les prochains jours pour établir mes plans avec mon équipe pour Calgary.
Vous fêterez votre anniversaire le 10 septembre prochain, jour du Grand Prix de Calgary : une deuxième victoire en Majeur ne serait-elle pas un cadeau d’anniversaire idéal ?
G. W. : Évidemment ! (rires) Mais comme je viens de dire, pour le moment, je veux d’abord profiter de cette victoire à Aix. Nous verrons ensuite comment les choses vont se décanter. Mais une chose est sûre, je vais assurément fêter mon anniversaire à Calgary cette année.