’’Je ferai tout mon possible pour redevenir numéro un’’, Meredith Michaels-Beerbaum

Après la vente retentissante de Bella Donna 66 au Qatar, début 2014, Meredith Michaels-Beerbaum semblait un peu en bout de course, à des années-lumière de la place de numéro un mondial qu’elle avait occupée durant vingt-quatre mois, entre 2004 et 2009. C’était sans compter sur la faculté de rebond de cette grande championne allemande, originaire de Californie. Quelques mois plus tard, grâce au soutien retrouvé de Jim Clark, l’ancien propriétaire de Shutterfly et Checkmate, elle est réapparue avec un puissant gris nommé Fibonacci 17, bientôt suivi de jeunes montures presque aussi prometteuses. Au terme d’une saison extérieure 2015 presque sans accroc, la petite blonde à l’impeccable brushing a retrouvé son sourire des grands jours, réussissant de très bons championnats d’Europe dans son jardin d’Aix-la-Chapelle, et une finale très convaincante de Coupe des nations. Si l’on ne doit pas trop compter sur elle pour la saison indoor, l’année 2016 pourrait bien marquer son retour au tout premier plan. Installée dans la cuisine de sa chaumière de Thedinghausen, le village de Basse-Saxe où elle vit et travaille aux côtés de Markus Beerbaum, la jeune maman de quarante-cinq ans a répondu sans fard à toutes les questions de Grand Prix Magazine.



Grand Prix : Quel bilan tirez-vous de votre saison extérieure ?
Meredith Michaels-Beerbaum :
D'un point de vue général, je suis vraiment satisfaite de cette année. J'ai très bien débuté en Floride où Fibonacci 17 a remporté l'un des quatre Grands Prix CSI 5* qu'il a sautés, et terminé deuxième d'un autre. Malheureusement, je me suis fracturé l'épaule deux jours après mon CSI 5* d'Aix-la-Chapelle, début juin. À ce moment là, tout s'est compliqué...

La suite de cette interview richement illustrée est à lire dans le numéro du mois de novembre de Grand Prix Magazine.

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