Le Salon des étalons de Saint-Lô, un rendez-vous “incontournable” pour les étalonniers
Les allées du Salon des étalons de Saint-Lô ne désemplissent pas. Étalonniers et éleveurs, mais aussi simples passionnés se réunissent à l’aube de la saison de monte. L’occasion pour les premiers de faire la promotion de leurs protégés dans cette période de choix du reproducteur parfait cruciale.
Le Salon des étalons de Saint-Lô bat son plein au Pôle hippique. À cette occasion, près de cent quatre-vingt étalons sont présentés en deux jours. Une occasion rêvée pour les étalonniers de faire la promotion de leurs protégés et de remplir leurs carnets de commande à l’aube du coup d’envoi de la saison de monte. Gaëlle Hanne de Xanthe & Balios ne louperait ce rendez-vous pour rien au monde : “C’est ici qu’il faut être vu. Nous rencontrons les éleveurs, les professionnels et les éleveurs amateurs. Il s’agit du seul salon auquel je participe car des gens viennent d’un peu partout en Europe. Les éleveurs peuvent discuter avec les cavaliers, voir les chevaux au box, ce qu’ils ne peuvent pas faire en concours faute de temps. Ils ont ici l’occasion d’aller les toucher, de voir leurs tissus… C’est pour cela qu’il est important d’être ici !”
Évidemment présent chaque année à Bordeaux en son fief, le stud-book Anglo Arabe fait également le déplacement jusqu’en Normandie pour faire sa promotion. Pour Aurélien Lafargue, la présence de Génétiqu’Anglo est une évidence afin de s’ouvrir à un autre public : “Saint-Lô est un rendez-vous incontournable, tant sur le plan national qu’international. La clientèle est très nombreuse. Les éleveurs viennent ici choisir les étalons pour leurs juments. Pour nous qui proposons des étalons cent pour cent Anglo-Arabes, cela nous permet de toucher une clientèle tournée vers les chevaux de sport et qui veut produire du Selle Français originel en ramenant du sang. Cette année, nous sommes venus avec notre star Potter du Manaou, le père de Prestige Kalone monté par Philippe Rozier. C’est la star du catalogue”.
Les chevaux ne sont pas les seuls à être bien représentés à Saint-Lô où la part belle est également faite aux poneys, dont une trentaine est présentée dans le manège principal. Une volonté du directeur du Pôle hippique Yann Adam, qui souhaite créer des synergies dans le monde équestre. Alors que les poneys avaient auparavant leur propre salon, ils se mélangent désormais aux chevaux, ce qui leur offre une meilleure visibilité et qui ouvre de nouveaux marchés. L’Organisation Normandie Poney (ONP) fait en sorte que les éleveurs de la région puissent présenter leurs protégés en leur offrant à chacun cent euros afin de couvrir une partie des coûts engendrés par la participation à une telle manifestation. Pour Valérie Mauger, la présence des poneys lors de cet évènement est un véritable coup de pouce pour cette filière : “Auparavant, nous n’étions qu’entre éleveurs de poneys. Désormais, le fait que nous ayons une place au sein du Salon des étalons de Saint-Lô offre de nouvelles perspectives aux éleveurs qui vendent de nombreuses saillies à cette occasion. Notre présence ici nous offre une grande visibilité”.
Évidemment présent chaque année à Bordeaux en son fief, le stud-book Anglo Arabe fait également le déplacement jusqu’en Normandie pour faire sa promotion. Pour Aurélien Lafargue, la présence de Génétiqu’Anglo est une évidence afin de s’ouvrir à un autre public : “Saint-Lô est un rendez-vous incontournable, tant sur le plan national qu’international. La clientèle est très nombreuse. Les éleveurs viennent ici choisir les étalons pour leurs juments. Pour nous qui proposons des étalons cent pour cent Anglo-Arabes, cela nous permet de toucher une clientèle tournée vers les chevaux de sport et qui veut produire du Selle Français originel en ramenant du sang. Cette année, nous sommes venus avec notre star Potter du Manaou, le père de Prestige Kalone monté par Philippe Rozier. C’est la star du catalogue”.
Les chevaux ne sont pas les seuls à être bien représentés à Saint-Lô où la part belle est également faite aux poneys, dont une trentaine est présentée dans le manège principal. Une volonté du directeur du Pôle hippique Yann Adam, qui souhaite créer des synergies dans le monde équestre. Alors que les poneys avaient auparavant leur propre salon, ils se mélangent désormais aux chevaux, ce qui leur offre une meilleure visibilité et qui ouvre de nouveaux marchés. L’Organisation Normandie Poney (ONP) fait en sorte que les éleveurs de la région puissent présenter leurs protégés en leur offrant à chacun cent euros afin de couvrir une partie des coûts engendrés par la participation à une telle manifestation. Pour Valérie Mauger, la présence des poneys lors de cet évènement est un véritable coup de pouce pour cette filière : “Auparavant, nous n’étions qu’entre éleveurs de poneys. Désormais, le fait que nous ayons une place au sein du Salon des étalons de Saint-Lô offre de nouvelles perspectives aux éleveurs qui vendent de nombreuses saillies à cette occasion. Notre présence ici nous offre une grande visibilité”.
