Après sa victoire par équipes en saut d’obstacles aux Jeux olympiques de Rio, l’été dernier au Brésil, Pénélope Leprevost a pris la plume pour évoquer ses années à Shetland dans une série romancée à destination des enfants : « Penny au poney-club », dont le deuxième tome va prochainement paraître. C’est l’occasion idéale pour Grand Prix d’évoquer les premières années équestres de l’icône française de l’équitation.
Mais pourquoi donc une cavalière membre de l’équipe de France de saut d’obstacles, championne olympique de surcroît, revient-elle sur ses années à poney ? « Chaque jour, je reçois des messages de petites filles et d’adolescentes passionnées, qui montent en club, qui m’interrogent sur mon histoire, et qui veulent savoir comment je suis devenue cavalière... J’avais aussi envie de raconter cela à ma fille, à travers une belle aventure, mêlant souvenirs et imaginaire, en y ajoutant des conseils techniques. “Penny au poney-club” est une série dans le même style que le “Club des Cinq”, qui raconte les aventures d’un groupe d’amis. Les histoires ont été très clairement inspirées de mon par- cours personnel », répond l’intéressée. Leprevost pourrait faire rêver bon nombre de jeunes cavaliers. « Je suis issue de l’univers des centres équestres. Mes parents ne sont pas cavaliers, le monde du cheval leur était totale- ment étranger. Mon parcours pourrait être celui de n’importe quelle jeune fille passionnée ! » Comme elle l’évoque dans son ouvrage « Des- tinée cavalière », publié en 2013 chez Lavauzelle, petite, Pénélope adorait déjà les animaux. Mais pas question d’en avoir dans l’appartement familial de Sotteville-lès-Rouen, en périphérie sud de Rouen, où les Leprevost vivent à six.
La suite de cet article richement illustré est à lire dans le numéro de mai du magazine GRANDPRIX.
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