« EMMENER UNE EQUIPE DYNAMIQUE A FONTAINEBLEAU », A. FROMENT
Après la trêve hivernale, les poneys de dressage vont reprendre la saison internationale à Vidauban à l'occasion du Spring Tour (du 24 au 26 Février). Alizée Froment, sélectionneur national de l'équipe de France, dévoile les objectifs de cette saison 2012.
Grand Prix Replay : Quelle va être la préparation de l'équipe de France Poney cette année ?
Alizée Froment : Nous avons déjà eu deux stages de préparation/détection. Un à la sortie de l'automne, ainsi qu'un à Noël, afin de pouvoir repérer les nouveaux couples et faire un point sur le travail à mettre en place avant que la saison de compétitions ne batte son plein. Un troisième, un peu plus resserré autour de certains couples cette fois-ci, aura lieu aux Bréviaires les 10 et 11 mars prochains. Tous ces stages sont encadrés par Hartwig Burfeind que je seconde.
Alizée Froment : Nous avons déjà eu deux stages de préparation/détection. Un à la sortie de l'automne, ainsi qu'un à Noël, afin de pouvoir repérer les nouveaux couples et faire un point sur le travail à mettre en place avant que la saison de compétitions ne batte son plein. Un troisième, un peu plus resserré autour de certains couples cette fois-ci, aura lieu aux Bréviaires les 10 et 11 mars prochains. Tous ces stages sont encadrés par Hartwig Burfeind que je seconde.
Grand Prix Replay : Quel est le travail effectué lors des stages ?
Alizée Froment : Cette année nous avons beaucoup de couples jeunes, que ce soit au niveau de l'âge des enfants ou celui des poneys. Il faut donc avant tout créer une base solide afin que les couples avancent dans la bonne direction. Les grands points abordés sur les différents stages ont jusqu'alors surtout été la correction de l'emploi des aides des cavaliers, la justesse de leur position, ainsi que la précision du tracé. Nous sommes donc encore loin d'affiner les derniers détails mais cela représente un travail primordial dans la formation de nos jeunes cavaliers.
Alizée Froment : Cette année nous avons beaucoup de couples jeunes, que ce soit au niveau de l'âge des enfants ou celui des poneys. Il faut donc avant tout créer une base solide afin que les couples avancent dans la bonne direction. Les grands points abordés sur les différents stages ont jusqu'alors surtout été la correction de l'emploi des aides des cavaliers, la justesse de leur position, ainsi que la précision du tracé. Nous sommes donc encore loin d'affiner les derniers détails mais cela représente un travail primordial dans la formation de nos jeunes cavaliers.
Grand Prix Replay : Sur quels couples pourra-t-on compter cette année lors des internationaux ?
Alizée Froment : Cela dépendra de la saison de chacun, de leur progression tout au long de l'année, et de leur capacité à s'intégrer dans une équipe et à rester "soudé" au groupe France. Mais tous ont leurs chances.
Alizée Froment : Cela dépendra de la saison de chacun, de leur progression tout au long de l'année, et de leur capacité à s'intégrer dans une équipe et à rester "soudé" au groupe France. Mais tous ont leurs chances.
Grand Prix Replay : Quel est l'objectif principal de cette nouvelle saison ?
Alizée Froment : Joy Albeck a souhaité arrêter de monter alors qu'elle avait des poneys d'une très grande qualité. Je comptais sur elle pour que, à l'image de l'année dernière, nous puissions donner un coup de pouce à l'équipe. Nous avons beaucoup de couples nouveaux cette année ou peu expérimentés à ce niveau de compétition. Morgane Euriat et Lisa Cez, qui ont fait les championnats d'Europe l'année dernière, n'ont pas les mêmes compagnons de route. Nous ferons donc de notre mieux pour emmener une équipe dynamique, soudée et prête à donner le meilleur d'elle-même aux championnats d'Europe de Fontainebleau, en juillet prochain.
Grand Prix Replay : Comment gérez-vous votre carrière sportive en parallèle de votre poste de sélectionneur national ?
Alizée Froment : J'organise mes plannings entre six mois et un an à l'avance. Jusqu'ici, j'ai réussi à tout gérer sans rencontrer trop de problèmes bien que je n'ai désormais plus une minute de libre.
Alizée Froment : J'organise mes plannings entre six mois et un an à l'avance. Jusqu'ici, j'ai réussi à tout gérer sans rencontrer trop de problèmes bien que je n'ai désormais plus une minute de libre.
Propos recueillis par Chloé Poindron