“Cette année pour moi, c’est objectif Tryon !”, Anthony Bro-Petit
À l’occasion de la journée presse organisée à l’École nationale d’équitation par la Fédération française d’équitation, outre sur les cavaliers de l’équipe de France de complet, l’accent a été mis sur la voltige. Au terme d’une superbe présentation de Lambert Leclezio, nous avons rencontré Anthony Bro-Petit, l’un des autres visages de la voltige tricolore, membre du collectif Noroc.
S’il n’a pas voltigé hier à l’occasion de la journée presse organisée par la Fédération française d’équitation, Anthony Bro-Petit était tout de même présent à Saumur, et y effectuera un stage d’entrainement la semaine prochaine. Résolument déterminé à faire partie du voyage vers les Jeux équestres mondiaux de Tryon en septembre prochain, le jeune homme a immédiatement affiché son ambition. “Cette année pour moi, c’est objectif Tryon ! C’est ce vers quoi je veux aller et je vais m’en donner les moyens. Avec la compagnie Noroc, notre gros collectif, nous souhaitons y aller par équipes. Au fur et à mesure de la saison, l’échéance va se profiler”, a commencé le voltigeur. Un objectif de saison qui a été soigneusement préparé en amont. “Nous avons un programme, avec une thématique et des éléments techniques précis. Nous attendons le début de saison pour confirmer ou y apporter quelques modifications. Pour la première fois, nous présenterons le programme les 10 et 11 mars, puis officiellement au CVI de Saumur (du 30 mars au 1er avril, ndlr) qui marquera le début de la saison internationale”, a-t-il poursuivi. Et si cette préparation dans l’ombre suscite la curiosité, Anthony Bro-Petit a tenu à conserver le mystère autour de l’univers du programme. “Il faudra venir au CVI de Saumur pour le découvrir, nous tenons à le conserver secret jusqu’au dernier moment”.
Si la voltige occupe une grande partie de la vie d’Anthony Bro-Petit, il a également développé une activité, toujours dans l’artistique. “Je suis en parallèle film-maker, mais cette année je vais davantage me concentrer sur la voltige”, a-t-il expliqué. Un choix qui impose une discipline quotidienne. “Nous nous entrainons tous les jours, hormis le dimanche où nous sommes off. Mais plus nous allons nous approcher de Tryon, moins nous aurons de jours de repos. Après tout, on n’a rien sans rien ! J’ai mis ma vie professionnelle un peu entre parenthèses cette année pour pouvoir me focaliser sur le sport. C’est quelque chose que je n’avais pas fait en 2016, une année lors de laquelle j’avais un peu tout mélangé (le voltigeur avait participé au titre de champion du monde décroché par Noroc, au Mans, ndlr). Ça avait plutôt fonctionné, mais je n’avais pas vécu pleinement mon année sportive. Après avoir complètement arrêté pendant un an, j’ai aujourd’hui pratiquement repris le niveau que j’avais en 2016”. Lors de cette pause, pour profiter d’une une “vie normale”, Anthony Bro Petit s’est finalement rendu compte de l’importance de la voltige dans sa vie. “C’est bizarre à dire, mais la boue, et le contact avec l’animal me manquaient énormément. Finalement, la vie normale en jeans et baskets n’est pas faite pour moi !”, a conclu le souriant voltigeur. Gageons donc que sa détermination d’acier pourra le mener, lui et son équipe, vers le plus beau des métaux du côté de Tryon !
Si la voltige occupe une grande partie de la vie d’Anthony Bro-Petit, il a également développé une activité, toujours dans l’artistique. “Je suis en parallèle film-maker, mais cette année je vais davantage me concentrer sur la voltige”, a-t-il expliqué. Un choix qui impose une discipline quotidienne. “Nous nous entrainons tous les jours, hormis le dimanche où nous sommes off. Mais plus nous allons nous approcher de Tryon, moins nous aurons de jours de repos. Après tout, on n’a rien sans rien ! J’ai mis ma vie professionnelle un peu entre parenthèses cette année pour pouvoir me focaliser sur le sport. C’est quelque chose que je n’avais pas fait en 2016, une année lors de laquelle j’avais un peu tout mélangé (le voltigeur avait participé au titre de champion du monde décroché par Noroc, au Mans, ndlr). Ça avait plutôt fonctionné, mais je n’avais pas vécu pleinement mon année sportive. Après avoir complètement arrêté pendant un an, j’ai aujourd’hui pratiquement repris le niveau que j’avais en 2016”. Lors de cette pause, pour profiter d’une une “vie normale”, Anthony Bro Petit s’est finalement rendu compte de l’importance de la voltige dans sa vie. “C’est bizarre à dire, mais la boue, et le contact avec l’animal me manquaient énormément. Finalement, la vie normale en jeans et baskets n’est pas faite pour moi !”, a conclu le souriant voltigeur. Gageons donc que sa détermination d’acier pourra le mener, lui et son équipe, vers le plus beau des métaux du côté de Tryon !