Comment bien vendre son cheval sur internet ? By Digistal

Ce mois-ci, GRANDPRIX-REPLAY et les utilisateurs de DIGISTAL, spécialiste des sites web équestres, font le tour des bonnes pratiques du commerce de chevaux sur internet.



« Le marché international du commerce de chevaux est bien portant, mais le marché national est bien plus difficile. Internet nous permet alors d’aller plus vite et plus loin, c’est indéniable», explique Raymond Lefèvre, à la tête de l’élevage de Sainte Hermelle. 
Dès lors, nulle question à se poser sur l’utilité d’internet dans le commerce de chevaux.  Mais comment optimiser ses chances de vendre un cheval ? 
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CONSEIL N°1 : LE SITE AU CŒUR DE LA STRATÉGIE
Internet regroupe un ensemble de supports de communication qu’il faut savoir manier simultanément pour plus d’efficacité. Si l’on développe son commerce de chevaux sur internet, la stratégie mise en place doit être construite autour du site.

En effet, celui-ci présente bien des avantages. « Nous pouvons présenter les origines des étalons, leurs performances, leurs lignées et leurs descendances. De plus, sur le site, toutes nos données sont consultables à tout instant. Sur les réseaux sociaux, un post datant de plus de quelques jours a déjà disparu dans la masse », affirme Beth Loisil, étalonnière et à la tête de l’écurie de la Claise depuis quinze ans.

« J’ai créé mon site avec Digistal il y a dix ans. Si cette pratique était moins développée à l’époque, aujourd’hui, il est impensable de ne pas avoir de site pour promouvoir l’élevage. Un élevage sans site internet, c’est un peu comme un magasin sans vitrine. Cela nous permet de présenter de manière attrayante notre travail », ajoute Bertrand Saint-Martin, de l’élevage d’Agenais.
 


CONSEIL N°2 : LES RÉSEAUX COMME MOTEUR


Une fois le site mis en ligne, il est indispensable de guider les acheteurs potentiels vers celui-ci. « Je me sers de notre page Facebook pour amener les clients sur mon site. Sur Facebook, il y a de vrais acheteurs et d’autres qui ne font que passer. Seules les personnes vraiment intéressées vont aller chercher des informations complémentaires sur les chevaux présentés. Mais Facebook et le site internet ne fonctionneraient pas aussi bien l’un sans l’autre », explique Beth Loisil.

« Nous utilisons Facebook pour diffuser des photos et des vidéos. Mais je ne suis pas sûr que cette page soit déterminante dans la vente de chevaux. Ce sont davantage des passionnés que de réels acheteurs qui nous suivent, mais la page provoque le dialogue et le bouche-à-oreille. C’est là tout son intérêt », affirme de son côté Bertrand Saint-Martin.


CONSEIL N°3 : LA GESTION DE L’IMAGE


Apparaître partout c’est bien, mais maîtriser son image, c’est encore mieux. Pour cela, il est essentiel de déterminer le ton à adopter dans les textes, ainsi que le style d’écriture et la qualité des images. « J’alimente mon site depuis une dizaine d’années. J’ai appris avec le temps. Aujourd’hui, je prépare tout à l’avance, photos et textes, et lorsque tout est prêt, je publie. Cela me fait gagner du temps », explique Beth Loisil. « Bien entendu, nous faisons tous attention à mettre en ligne les vidéos qui mettent en valeur les qualités du cheval. C’est parfois à la qualité de la vidéo que l’on reconnaît la qualité de l’éleveur. Un parcours à quatre points peut être meilleur qu’un tour sans faute, par exemple, mais cela, tous les vendeurs ne le voient pas », ajoute Bertrand Saint-Martin.


Bien gérer la manière de s’exprimer sur l’ensemble des outils digitaux pour attirer les futurs acheteurs sur un site complet et mis à jour régulièrement serait donc la clé de votre réussite. Alors, à vos claviers, feu, partez !
 
Plus d'informations sur www.digistal.com