Les cinq clés pour réussir sa start-up dans le monde équestre
Tous les mois, en collaboration avec le Pôle Hippolia, GrandPrix-replay.com s’intéresse à l’innovation, s’exprimant de manière particulièrement active dans le monde du cheval, et aux moyens de transformer des idées ingénieuses en produits et services pouvant trouver leur place dans un univers économique très concurrentiel. Ce mois-ci, voici cinq conseils pour faire réussir sa start-up.
1976, c’est l’année où le terme ’’startup’’ fut utilisé pour la première fois. 1976, c’est peut-être aujourd’hui le nombre de fois que ce mot est prononcé au moment où vous lisez ces lignes. C’est donc un réel sujet de société.
Pour faire simple, une startup c’est une jeune entreprise qui propose un produit ou un service innovant pour lequel un nouveau modèle économique peut, en plus, être proposé. Bien sûr, il n’existe pas de recette miracle pour ’’monter sa startup’’, pas de pack tout prêt avec les bons outils, ce serait trop simple ! Mais, comme à cheval, s’il y a plusieurs visions et moyens de parvenir aux objectifs, certains passages semblent incontournables. Voici cinq clés pour réussir sa startup dans le monde équestre.
- Avoir une (bonne) idée et la tester : Cela semble être une évidence mais c’est la base de la startup et ce n’est pas si simple. Attention ! Une bonne idée n’est pas celle qui vous semblera géniale, mais celle qui répondra à un besoin, qui trouvera un marché et pour laquelle les clients sont prêts à payer (suffisamment pour que l’entreprise deviennent rentable). Il est donc essentiel de tester son idée pour répondre à ces questions.
- S’impliquer et prendre des risques : Une startup c’est comme un cheval, ça demande du temps, de l’énergie et (pas mal) d’argent. Il est nécessaire de s’y consacrer à 100%. Monter ’’sa boîte’’ implique une notion de risques que le porteur de projet doit accepter. Alors oui, certains sacrifices doivent être consentis mais la réussite n’en sera que plus belle !
- Discuter, échanger et se faire accompagner : Quel que soit le domaine d’activité de la startup, les avis extérieurs sont toujours intéressants (et s’ils ne le sont pas, il faut en demander d’autres !). Avant de se lancer il est important de développer son réseau et surtout de bien s’entourer : trouver des associés ou collaborateurs complémentaires, des partenaires, des investisseurs, etc. Si 50% des entreprises ne passent pas le seuil de la sixième année, ce chiffre tombe à 34% pour celles qui se font accompagner. Monter une startup seul(e) dans son garage peut être une bonne idée mais attention à ne pas trop s’y enfermer !
- Prendre son temps et accepter de se tromper : Comme avec les chevaux, prendre du temps pour poser les bases au démarrage permet d’en gagner ensuite. Vous ne penseriez pas à apprendre une pirouette au galop à un cheval qui ne galope pas en équilibre ?! Dans une startup c’est pareil. Les fondations sont essentielles et la stratégie doit être réfléchie, tout en acceptant que celle-ci évoluera obligatoirement. « L’erreur est humaine », et encore plus quand on crée sa startup car, par définition, on avance à tâtons, la clé est de l’accepter et de la rattraper rapidement !
- Se faire connaître et convaincre : Avoir le meilleur produit du monde, c’est bien, mais si personne ne le connait, c’est inutile. Il faut donc en parler, le montrer, le faire savoir auprès des investisseurs, de son marché et de ses futurs clients. Par ailleurs, la communication n’est pas toujours incompatible avec la confidentialité si cela est fait dans les règles. La startup doit générer du trafic, et surtout des conversions, c’est-à-dire convaincre son audience d’utiliser ses produits et services.
Finalement, les clés pour ’’monter sa boîte’’ pourraient ressembler à celles pour ’’monter à cheval’’ : essayer, poser les bases, s’entourer, accepter les erreurs et… ne pas baisser les bras ! Et puis, même si la recette miracle n’existe pas, la bonne nouvelle c’est que le baromètre de réussite existe bien, lui, et s’appelle tout simplement ’’le client’’.
Suivez l'actualité de l'innovation de la filière équine sur la page Facebook du Pôle Hippolia.
Pour faire simple, une startup c’est une jeune entreprise qui propose un produit ou un service innovant pour lequel un nouveau modèle économique peut, en plus, être proposé. Bien sûr, il n’existe pas de recette miracle pour ’’monter sa startup’’, pas de pack tout prêt avec les bons outils, ce serait trop simple ! Mais, comme à cheval, s’il y a plusieurs visions et moyens de parvenir aux objectifs, certains passages semblent incontournables. Voici cinq clés pour réussir sa startup dans le monde équestre.
- Avoir une (bonne) idée et la tester : Cela semble être une évidence mais c’est la base de la startup et ce n’est pas si simple. Attention ! Une bonne idée n’est pas celle qui vous semblera géniale, mais celle qui répondra à un besoin, qui trouvera un marché et pour laquelle les clients sont prêts à payer (suffisamment pour que l’entreprise deviennent rentable). Il est donc essentiel de tester son idée pour répondre à ces questions.
- S’impliquer et prendre des risques : Une startup c’est comme un cheval, ça demande du temps, de l’énergie et (pas mal) d’argent. Il est nécessaire de s’y consacrer à 100%. Monter ’’sa boîte’’ implique une notion de risques que le porteur de projet doit accepter. Alors oui, certains sacrifices doivent être consentis mais la réussite n’en sera que plus belle !
- Discuter, échanger et se faire accompagner : Quel que soit le domaine d’activité de la startup, les avis extérieurs sont toujours intéressants (et s’ils ne le sont pas, il faut en demander d’autres !). Avant de se lancer il est important de développer son réseau et surtout de bien s’entourer : trouver des associés ou collaborateurs complémentaires, des partenaires, des investisseurs, etc. Si 50% des entreprises ne passent pas le seuil de la sixième année, ce chiffre tombe à 34% pour celles qui se font accompagner. Monter une startup seul(e) dans son garage peut être une bonne idée mais attention à ne pas trop s’y enfermer !
- Prendre son temps et accepter de se tromper : Comme avec les chevaux, prendre du temps pour poser les bases au démarrage permet d’en gagner ensuite. Vous ne penseriez pas à apprendre une pirouette au galop à un cheval qui ne galope pas en équilibre ?! Dans une startup c’est pareil. Les fondations sont essentielles et la stratégie doit être réfléchie, tout en acceptant que celle-ci évoluera obligatoirement. « L’erreur est humaine », et encore plus quand on crée sa startup car, par définition, on avance à tâtons, la clé est de l’accepter et de la rattraper rapidement !
- Se faire connaître et convaincre : Avoir le meilleur produit du monde, c’est bien, mais si personne ne le connait, c’est inutile. Il faut donc en parler, le montrer, le faire savoir auprès des investisseurs, de son marché et de ses futurs clients. Par ailleurs, la communication n’est pas toujours incompatible avec la confidentialité si cela est fait dans les règles. La startup doit générer du trafic, et surtout des conversions, c’est-à-dire convaincre son audience d’utiliser ses produits et services.
Finalement, les clés pour ’’monter sa boîte’’ pourraient ressembler à celles pour ’’monter à cheval’’ : essayer, poser les bases, s’entourer, accepter les erreurs et… ne pas baisser les bras ! Et puis, même si la recette miracle n’existe pas, la bonne nouvelle c’est que le baromètre de réussite existe bien, lui, et s’appelle tout simplement ’’le client’’.
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