« L’assurance nous permet d’avoir le choix, elle ouvre la possibilité de sauver notre cheval »

Gwenaëlle a 24 ans et monte en concours complet. Cavalière depuis toute petite, elle a appris très vite à être responsable de ses poneys, alors à la maison. Arrivée à l’adolescence et comme beaucoup de cavaliers, elle passe à cheval. C’est à ce moment que ses parents, très investis dans sa passion, décident de lui offrir Olympic Bird, un crack qui leur aura valu des frayeurs. Retour sur leur histoire.



« On n’a jamais eu peur de se lancer dans les soins »

Gwenaëlle et Olympic Bird sur le cross

Gwenaëlle et Olympic Bird sur le cross

© Crédit : collection privée

C’est en 2014 que Gwenaëlle et son Olympic Bird se rencontrent. Après avoir démarré la compétition en concours complet à poney, ses parents décident de lui acheter un cheval « qui valait un peu d’argent ». « C’est à ce moment là qu’on s’est dit qu’on allait regarder un peu les assurances » relate la cavalière du Val de Loire. Pendant 2 ans, tout va pour le mieux et le couple apprend à se connaître. En 2016, le rêve est ébranlé une première fois. « Le premier gros souci que j’ai eu avec Olympic, c’était une tendinite, la deuxième année où je l’ai acheté. La première grosse tendinite, le tendon avait pété, le coup dur. C’était donc repos forcé et immobilisation. »

Gwenaëlle, ses parents et leur vétérinaire décident de tout faire pour sauver la carrière sportive du cheval, peu importent les frais engendrés. « On n’a jamais eu peur de se lancer dans les soins » déclare la cavalière, ajoutant qu’ils se sentaient en sécurité de savoir que Cavalassur prendrait en charge la plupart des frais.

Grâce à l’abnégation de ses propriétaires et le soutien de l’assureur équin, Olympic Bird sort de cette première (malheureusement fréquente) mésaventure, indemne et prêt à repartir au travail.



« Personne ne savait ce qu’il avait, pas même la vétérinaire du concours »

Quelques années passent, sans ombre au tableau, jusqu’à mai 2019. Après un weekend à Tartas pour leur premier CCI1* ensemble où tout allait pour le mieux, le couple s’élance dans un concours régional, serein. Après un dressage mitigé, Gwenaëlle part, comme à son habitude, reconnaître le cross, laissant son fidèle compagnon au camion. Quelle ne fut pas sa stupeur quand, en revenant le voir, elle découvre son cheval trempé de sueur, la tête par terre. « Personne ne savait ce qu’il avait, pas même la vétérinaire du concours », se souvient Gwenaëlle. 

 

La décision est prise sans hésitation : direction la première clinique vétérinaire en urgence. Après de nombreux examens, la piste de l’ulcère étant vite écartée (« ce n’était pas un ulcère, il était traité pour ça car on savait qu’il pouvait y être sensible, d’ailleurs, Cavalassur nous a accompagnés dans le dépistage avec les endoscopies »), la vétérinaire évoque de gros doutes quant à l’état cardiaque d’Olympic, après avoir décelé un souffle au cœur. Le monde s’écroule pour Gwenaëlle et ses parents qui, sur les recommandations de la vétérinaire, emmènent leur cheval de cœur à la Clinique de Grosbois (clinique de renommée internationale située au centre d’entraînement de trotteurs de Grosbois, en région parisienne. Ndlr) pour une échographie du cœur. 

 

« Après de nombreuses analyses, les vétérinaires de Grosbois ont pu éliminer le problème cardiaque, ce qui était en soi un soulagement, mais après avoir sondé les poumons, ils découvrent un champignon logé dans la carotide d’Olympic » se remémore la jeune femme. Le risque de section de la carotide étant imminent suite aux lésions causées par le champignon dans les poches gutturales, la seule solution pour sauver le cheval se profile : il faut opérer. « Nous avons fait un devis sur place, avec l’aide de Cavalassur et avons décidé d’opérer et de laisser le cheval sur place 15 jours ». L’assureur ayant pris en charge 70% de l’opération, il a permis aux propriétaires d’Olympic de mobiliser leurs finances pour l’hospitalisation et les soins quotidiens, sans lesquels la récupération et la survie du cheval ne pouvaient être garantis. 

 

Après une opération réussie et 15 jours de soins intensifs à Grosbois, Olympic Bird peut regagner son écurie, sain et sauf. 

« J’ai décidé d’arrêter le sport avec lui mais je suis ravie car le cheval continue à faire du concours à petit niveau avec une jeune cavalière. Il lui apprend le métier. Quand il va en concours sur des épreuves clubs, il est tout fier », rapporte Gwenaëlle avec joie, et conclut « Olympic nous aurait coûté chaque année, davantage en frais de soin que d’assurance, alors merci Cavalassur. On a souvent le dilemme « s’il n’y a pas de souci, je vais payer pour rien », mais c’est toujours après coup que l’on se dit que c’est important de choisir son assurance, c’est toujours quand c’est trop tard qu’on se dit « mince, j’aurai dû… » 

 Gwenaëlle a choisi la formule Zen de Cavalassur. Pour en savoir plus, rendez-vous sur leur site internet.

© Crédit : Marion Poisson