Une année remarquable pour les ventes aux enchères

Malgré les deux confinements imposés en France, et ceux décrétés à l’étranger en 2020, la pandémie de Covid-19 ne semble pas avoir trop affecté le commerce de chevaux de sport à travers le monde. Cela s’est notamment vérifié lors des très nombreuses ventes aux enchères organisées in situ ou sur internet, lesquelles ne cessent de se multiplier. Dans le même temps, les chiffres du commerce en ligne ont explosé et la fortune générée par les grands opérateurs, Amazon en tête, a été colossale. Il n’y a donc rien d’étonnant qu’il en soit un peu de même pour le marché des chevaux.



Depuis que les ventes en ligne existent – en France, la première opération de Fences Web s’était déroulée en août 2017 –, ce marché ne concernait, à de rares exceptions près, que les chevaux d’élevage: poulinières, foals et poulains de deux et trois ans. Les choses ont vite évolué, même s’il est plus simple d’enchérir sur les embryons, que l’on n’a pas besoin d’observer de visu avant achat! Pour les poulains, les acquéreurs ont pris l’habitude d’acheter sur vidéos, et en consultant les comptes-rendus de visites vétérinaires en ligne. Pour les performers âgés de quatre ans et plus, il...

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX ABONNÉS

Abonnez-vous pour 6,99€ par mois sans engagement
  • Accédez à tous les contenus payants de GRANDPRIX.info en illimité
  • Soutenez une équipe de journalistes passionnés et une rédaction indépendante

Nouveau chez GRANDPRIX ? Créez votre compte GRANDPRIX

Mot de passe perdu ? Réinitialiser mon mot de passe