Faut-il se réjouir ou regretter le départ de certains des meilleurs poneys français à l’étranger?
Sligo de Mormal, Rexter d’Or, Pumkins Pondi… Si la France peut se targuer de produire et de former d’excellents poneys, notamment des Français de Selle et des Connemaras, elle semble peiner de plus en plus à retenir ses champions, qui prennent souvent le chemin d’écuries étrangères. Est-ce le fruit d’une volonté assumée? L’élevage français serait-il victime de son succès, et les jeunes cavaliers tricolores de la concurrence d’autres acteurs européens aux moyens plus importants?