“Je fais le dos rond en attendant que la vague passe”, Simon Delestre
Depuis un an, face à la crise sanitaire causée par la pandémie de Covid-19, les cavaliers de haut niveau font ce qu’ils peuvent pour s’adapter et perdre le moins de temps et d’argent possible. Désormais frappée par l’épizootie de rhinopneumonie équine HVE-1, la filière souffre et bien des pilotes s’inquiètent pour l’avenir, y compris pour la préparation des grands rendez-vous, à l’image de Simon Delestre. S’il prend du plaisir à monter ses chevaux, il déplore le manque de concours, qui ralentit la progression des plus jeunes et limite les gains potentiels des plus âgés. Le Lorrain espère qu’une vie plus normale reprendra bientôt son cours, en espérant que la crise n’aura pas causé trop de dégâts.