Pour Reynald Angot, tout a commencé avec Paoly, un cheval que l’on pensait condamné

Qu’ils collectionnent les honneurs ou multiplient les victoires, tous les champions gardent en tête le souvenir d’un cheval qui, à défaut d’avoir marqué leur carrière ou les esprits, a joué un rôle dans leur chemin vers le succès. Dernièrement, Patrick Caron évoquait avec émotion le souvenir d’Éole IV, le cheval qui l’a accompagné tout au long de son ascension jusqu’au premier sacre mondial de l’équipe de France, en 1982 à Dublin. Aujourd’hui, Reynald Angot, couronné champion du monde par équipes vingt plus tard à Jerez de la Frontera avec Dollar de la Pierre, se replonger dans ses débuts aux côtés d’un partenaire nommé Paoly. Le cadet de la fratrie Angot évoque les prémices de sa carrière, marquées par une rencontre imprévue.



Quel cheval a marqué vos débuts en tant que cavalier?Ce cheval s’appelait Paoly. C’était un fils de Fort de la Cour (SF, Surioso x Debuche) et d’une mère par Uriel, qui était promis à un grand avenir sportif. Il avait commencé sa carrière avec mon frère, Cédric, et avait notamment terminé troisième de la finale nationale des chevaux de six ans à Fontainebleau. Ensemble, ils avaient également participé aux championnats d’Europe Juniors. Comment s’est-il retrouvé sous votre selle?Un jour, Paoly s’est blessé à un antérieur et sa carrière a dû être interrompue pendant une longue période. Il me sem...

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