Gain Line succombe brutalement à des coliques
Gain Line, qui avait notamment évolué aux côtés des Français Simon Delestre et Pénélope Leprevost, aurait succombé à une crise de coliques, selon les informations communiquées par son entourage. Après avoir vagabondé de cavaliers en cavaliers, le fils de Stolzenberg avait été racheté par Abdullah al-Sharbatly en juillet 2019.
Le généreux Gain Line s’est éteint ce samedi 1er février des suites d’une crise de coliques. Révélé en France par Simon Delestre puis Pénélope Leprevost, le hongre de l'Ukrainien Oleksandr Onyshchenko avait fini par changer de propriétaire en fin d’année dernière. Acquis par Abdullah al-Sharbatly, le Hanovrien avait remporté cinq épreuves en à peine quelques semaines. “C'est tellement injuste”, s’est désolée Héloïse Bonnidal, ancienne groom du crack.
D'écurie en écurie...
Lancé sur la scène internationale par Cian O’Connor puis par l’Ukrainien Oleg Krasiuk, Gain Line avait ensuite effectué plusieurs parcours avec son propriétaire de l’époque, le sulfureux Oleksandr Onyschenko, actuellement en proie à de nombreux ennuis judiciaires. Par la suite, le magnat avait confié son alezan à Simon Delestre. Avec le Français, le hongre, originellement prénommé Sidney par sa naisseuse Carola Lampe, avait rapidement brillé au niveau 5*. En 2017, la paire avait remporté la Puissance lors du CSI 5*-W de Malines. L’année suivante, le Lorrain avait conduit sa monture à la troisième place du Grand Prix Coupe du monde Longines de Bordeaux, avant de prendre la huitième place du Longines Global Champions Tour de Shanghai.
Deux mois après cette performance, le hongre s’était envolé en direction des écuries de Pénélope Leprevost. Avec la Normande, Gain Line avait poursuivi sa belle lancée, allant même jusqu’à remporter son tout premier Grand Prix CSI 5* à Ascona, en juillet 2018 en Suisse. L’aventure entre les deux n’avait pourtant duré que quelques mois, son propriétaire préférant en reprendre les rênes.
Après avoir pris part à cinq concours, l’Ukrainien, ancien candidat à la présidentielle dans son pays d’origine, a préféré confier de nouveau sa monture. Quelques parcours plus tard, effectués avec Tobias Meyer puis Ulrich Kirchhoff , Gain Line avait donc été revendu à Abdullah al-Sharbatly, chez lequel il n'aura vécu que sept mois, puisqu'il se serait éteint hier.
“À jamais dans mon cœur également, tant de doux moments et de souvenirs incroyables vécus avec lui en quelques mois, il aura marqué ma vie à jamais. [...] Un véritable rêve de cheval, à pied, au quotidien ou en concours, une personnalité incroyable”, a salué son ancienne groom, non sans émotion. “Quel privilège d’avoir eu la chance de le connaître, de m’en occuper et de le monter!”
Deux mois après cette performance, le hongre s’était envolé en direction des écuries de Pénélope Leprevost. Avec la Normande, Gain Line avait poursuivi sa belle lancée, allant même jusqu’à remporter son tout premier Grand Prix CSI 5* à Ascona, en juillet 2018 en Suisse. L’aventure entre les deux n’avait pourtant duré que quelques mois, son propriétaire préférant en reprendre les rênes.
Après avoir pris part à cinq concours, l’Ukrainien, ancien candidat à la présidentielle dans son pays d’origine, a préféré confier de nouveau sa monture. Quelques parcours plus tard, effectués avec Tobias Meyer puis Ulrich Kirchhoff , Gain Line avait donc été revendu à Abdullah al-Sharbatly, chez lequel il n'aura vécu que sept mois, puisqu'il se serait éteint hier.
“À jamais dans mon cœur également, tant de doux moments et de souvenirs incroyables vécus avec lui en quelques mois, il aura marqué ma vie à jamais. [...] Un véritable rêve de cheval, à pied, au quotidien ou en concours, une personnalité incroyable”, a salué son ancienne groom, non sans émotion. “Quel privilège d’avoir eu la chance de le connaître, de m’en occuper et de le monter!”
