Verticaux, oxers, spas, rivières, murs, lignes, courbes, combinaisons, les parcours de jumping s’organisent en une succession d’obstacles aux profils variés. Si leurs abords dépendent de leur emplacement sur le tracé, de leur physionomie et de leur hauteur, le type même de chaque obstacle inclut quelques règles de base, résumées ici sous l’expérience et les conseils avisés de Michel Robert.
LE VERTICAL, LE CLASSIQUE
Pour cet obstacle, Michel Robert est clair, il faut “garder de l’énergie”! En effet, même s’ils sont souvent moins impressionnants pour les cavaliers que les obstacles larges (oxers, spas, rivières), les verticaux nécessitent de maintenir une certaine dose d’énergie, au risque de voir son cheval fauter par un manque de force ou même de s’arrêter. Il ne faut donc nullement le négliger! Pour s’entraîner à sauter un vertical dans les meilleures conditions, c’est-à-dire en ayant soin que son cheval décompose ses mouvements et prenne le temps de monter ses genoux, le tout dans une certaine rapidité d’action, Michel Robert préconise le travail s...