Une flamme au bout du chemin, la voie des para-dresseurs

Les cavaliers de para-dressage, seule discipline équestre inscrite au programme des Jeux paralympiques, se projettent eux aussi vers Paris 2024. Avec leurs spécificités bien sûr, toutes leurs histoires de vie, mais aussi toute leur passion et surtout, tous leurs espoirs. Organisé début avril, le CPEDI 3* de Deauville en fut la plus belle démonstration.



Être passionné de sport, c’est aimer se laisser cueillir par des émotions, se laisser emporter. Quel que soit le sport, c’est vivre des instants intenses dont on se souviendra bien plus tard. Des images et des flashes aussitôt associés à une émotion. Une version du film “Se souvenir des belles choses” transposée aux exploits des plus grands champions. Vertige de l’universalité, ces instants sont parfois partagés par des millions de personnes un peu partout sur la planète. Une frappe enroulée en pleine lucarne de Kylian Mbappé, un revers le long de la ligne de Rafael Nadal ou Roger Federer, un porter de Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron, un 5/5 de Quentin Fillon Mail...

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