Tour d'horizon des recommandations du rapport Dombreval pour Paris 2024

À Tokyo, la dernière édition des Jeux olympiques a été entachée de plusieurs incidents préjudiciables à l’image des sports équestres et à leur acceptabilité sociétale. Pour éviter que de tels événements ne se reproduisent en 2024 à Paris et, plus largement, assurer le bien-être des chevaux qui s’y affronteront, le groupe d’étude sur la condition animale de l’Assemblée nationale, s’est emparé du sujet. Présidé par le désormais ancien député LREM des Alpes-Maritimes Loïc Dombreval, vétérinaire de profession, il a formulé quarante-six recommandations en ce sens. Tour d’horizon d’un rapport resté relativement confidentiel en France, en raison de sa publication en pleine campagne présidentielle, mais qui a fait grand bruit hors de nos frontières. 



La première partie de cet article est consultable iciEnjeux clés du sport moderne, le dopage et la médicalisation des chevaux de manière générale font l’objet d’un long développement du groupe parlementaire. Le texte insiste sur l’information à diffuser à tous quant à l’interdiction du dopage mais aussi de la névrectomie, qu’elle soit chimique ou chirurgicale. Il préconise également la multiplication des tests d’hypo et hypersensibilité et de thermographie, afin qu’au moins 10 % des chevaux en fassent l’objet à la fin de fin de chaque épreuve. Un examen clinique vétérinaire et un test antidopage seraient imposés...

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