“Il aura fallu des années pour que je croie en mes qualités de cavalière”, Stéphanie Brieussel (2/2)

Trois ans après avoir disputé son dernier championnat d’envergure aux Européens Longines de Rotterdam avec son olympique Amorak, Stéphanie Brieussel a signé son grand retour à haut niveau en 2022, année qu’elle a conclue en réalisant la meilleure performance française lors de l’étape de la Coupe du monde de dressage de Lyon. Après plus de trente ans passés sur les rectangles, la Val-d’Oisienne a résolument de quoi se projeter vers les prochains rendez-vous de sa discipline; le fruit d’un projet savamment construit et résolument tourné vers le grand sport. Deuxième partie.



La première partie de cet article, parue hier, est disponible ici.Coup du sort sur coup du sort...Après deux saisons blanches en 2000 et 2001, pendant lesquelles Stéphanie en profite pour donner naissance à son fils Thomas et trouver de nouvelles montures, l’amazone reprend la compétition, d’abord avec Bugatti (Han, Buenos Aires x Wendekreis), qui permet ensuite à Dominique Brieussel de briller sur le Petit Tour et de retrouver le niveau Grand Prix, Royal Dancer (Han, Rubinstein x Dynamo), avec lequel elle remporte le Critérium National Petit Tour en 2005 avant de rejoindre lui aussi le piquet de son époux, ou encore Wisdom (Han, Weltmeyer x Matcho) et surtout Twister (KWPN, Jazz x Walldorf), vice-champion de France des qu...

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