Le Saint Georges, une première étape, et non des moindres

Également présent dans le répertoire des épreuves de la Fédération française d’équitation, le Saint Georges est l’un des plus anciens textes de reprise édité par la Fédération équestre internationale. Support du classement par équipes Jeunes Cavaliers pour les seize à vingt et un ans, il forme aussi, avec l’Intermédiaire I, le binôme constituant le Petit Tour. Passage quasi systématique dans l’évolution d’un cheval vers le niveau Grand Prix, le Saint Georges fait réellement appel pour la première fois au rassembler avec, notamment, l’incorporation des demi-pirouettes. Comment en éviter les principaux écueils tout en optimisant la présentation dans les moindres détails?



Pour n’importe quelle reprise, l’importance d’une bonne entrée est primordiale. C’est la figure qui donne aux juges la toute première impression du couple. La qualité du galop rassemblé sera appréciée: un bon rythme à trois temps avec un temps de projection, de l’équilibre, de l’impulsion. Le juge de profil évaluera l’attitude du cheval: nuque comme point le plus haut, verticalité du chanfrein. Le juge en C sera le plus à même d’examiner la rectitude. La transition vers l’arrêt doit être à la fois nette et fluide, le contact restant mœlleux. Un arrêt qui n’est pas carré, mais traversé ou présentant...

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX ABONNÉS

Abonnez-vous pour 6,99€ par mois sans engagement
  • Accédez à tous les contenus payants de GRANDPRIX.info en illimité
  • Soutenez une équipe de journalistes passionnés et une rédaction indépendante

Nouveau chez GRANDPRIX ? Créez votre compte GRANDPRIX

Mot de passe perdu ? Réinitialiser mon mot de passe