[DOSSIER SANTÉ MENTALE] “Les gens n’osent pas en parler parce que cela s’apparenterait à un signe de faiblesse”, Peder Fredricson (2/2)

“Celui qui veut réussir doit apprendre à combattre, persévérer et souffrir”, disait Bruce Lee, acteur, réalisateur et producteur sino-américain, qui s’est également illustré en tant qu’artiste martial émérite. Symbole suprême du dépassement de soi et de la dévotion passionnelle, le sport de haut niveau soumet les athlètes à une intensité quotidienne, à laquelle n’échappent pas les cavaliers, pour qui le facteur cheval représente souvent une source de pression supplémentaire, pouvant fragiliser leur équilibre mental. Pourtant, les potentielles répercussions psychologiques de ce rythme de vie semblent être encore confidentielles, voire taboues; une anomalie dans un domaine où le moindre détail influe sur la performance.



La première partie de cet article est à retrouver ici.Des facteurs spécifiques à l’équitationComme n’importe quelle autre activité, l’équitation comporte des facteurs spécifiques pouvant favoriser la survenue de troubles. D’abord, les cavaliers travaillent majoritairement à l’extérieur – ce qui semble positif en soi, sauf en cas de conditions climatiques extrêmes – avec des horaires pouvant s’étendre de 7h00 à 20h00 selon les écuries. Si la sollicitation physique et mentale est moins intense, à nombre d’heures égal, que celle de beaucoup d’autres athlètes, leur programme quotidien est très dense, gén&...

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