VDL, la tête dans les étoiles, les pieds bien sur terre
VDL. Trois simples lettres pour le commun des mortels, tout un symbole pour les passionnés d’équitation et d’élevage. Une référence depuis un demi-siècle sur la planète cheval, qui a laissé une trace indélébile dans l’histoire du saut d’obstacles grâce à des étalons performeurs devenus de véritables chefs de race du KWPN. Bien plus qu’une marque, ce sigle connu sur les cinq continents rassemble en réalité une famille soudée, guidée de main de maître par un patriarche plus qu’avisé. Derrière C-Indoctro, Bubalu, Glasgow van het Merelsnest et aujourd’hui Quamikase des Forêts se cachent une méthode éprouvée et un savoir-faire envié, copié mais rarement égalé. Rendez-vous dans un paradis des mordus de belle génétique.
Pour atteindre le siège mondial de VDL, il faut compter huit bonnes heures de route depuis le sud de Paris, en traversant le nord de la France, la Belgique, puis une bonne partie des Pays-Bas. Visiter l’un des plus prestigieux haras au monde, ça se mérite ! En chemin, un arrêt s’improvise chez Marlon Módolo Zanotelli, cavalier participant dé-sormais à la mise en valeur d’étalons VDL. Le Brésilien de trente-quatre ans est installé à Peer, entre Aix-la-Chapelle et Eindhoven… mais côté belge. Avec la simplicité et la chaleur qui le caractérisent, il fait visiter son écurie acquise en 2016 avec son épouse, la Suédoise Angelica Augustsson. Parmi se...
