Garance Jullien, une Cévenole à la tête bien faite

Retenue pour les championnats du monde Jeunes d’endurance en 2019 à seulement seize ans, Garance Jullien fait partie des espoirs tricolores de la discipline. Originaire de l’arrière-pays cévenol, terre d’hommes et de femmes de passion, la cavalière est mordue d’endurance depuis sa rencontre avec Hasslan de Fignols, son premier cheval dont elle rêvait depuis longtemps. Ayant passé la barre des vingt ans le 2 avril, la Sudiste est motivée pour faire son trou dans l’équipe de France, tout en poursuivant ses études d’ingénieure agronome. Portrait d’une tête bien faite, cultivant progressivement sa singularité.



“À l’époque, je suppliais constamment mon père de m’offrir un cheval, plutôt un poney même. Mais il refusait tout le temps, car il voulait attendre que j’ai l’âge de pouvoir vraiment en profiter. Quand j’ai eu treize ans, il m’a fait la surprise de m’offrir Hasslan (Ar, Sihawan x Persik), qu’il avait trouvé non loin de la maison dans un élevage de chevaux d’endurance. De fait, j’ai découvert cette discipline un peu par hasard… et je n’ai voulu pratiquer qu’elle par la suite! J’en suis vraiment passionnée aujourd’hui”, sourit Garance Jullien, dont l’accent chantant trahit immédiatement l’origine. Ayant pa...

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