La France, pays privilégié pour se préparer aux Jeux olympiques

Pays hôte des Jeux olympiques 2024, la France a de fait une place acquise dans chaque discipline et la possibilité d’inscrire plus de concurrents aux épreuves. Néanmoins, avant d’obtenir le précieux sésame permettant de concourir et de représenter son pays à Paris du 26 juillet au 11 août 2024, l’heure est à l’entraînement pour les cavaliers présélectionnés. Alors que les travaux ont bien débuté dans les jardins de Versailles, lieu des épreuves de dressage, d’obstacles et de complet, les cavaliers français organisent leurs programmes sportifs grâce notamment aux circuits Hubside Jumping.



De nombreuses dates de concours, un atout de poids

« Les circuits Hubside Jumping apportent beaucoup d’épreuves CSI 5*, 4*, 3*, etc., avec quinze à dix-huit dates de concours, et ce depuis plusieurs années. C’est une chance incroyable pour la France », introduit le champion olympique Philippe Rozier. Les concours Husbide Jumping s’équilibrent entre deux sites : celui de Grimaud, à une dizaine de kilomètres de Saint-Tropez, dans le Var, et celui dit de Valence, au sein du Haras des Grillons, basé à Ratières, à une trentaine de kilomètres au nord de Valence. 

« En tant que pays organisateur des Jeux olympiques de Paris 2024, la France aura plus de choix pour les cavaliers qualifiés, si bien qu’avoir autant de concours est salutaire pour que tout le monde puisse pratiquer son sport dans de bonnes conditions. Et, avec les concours Hubside Jumping, ces dernières ne manquent pas ! Les pistes sont parfaites, tout comme l’hébergement et la qualité de vie du concours en général. » L’Hubside Jumping de Valence avance notamment une piste extérieure de 90m x 50m, quand l’Hubside Jumping de Grimaud offre une piste de 120m x 70m, toutes deux en sable fibré. 



Une diversité de labels pour mieux gérer son piquet de chevaux

« Le double label des concours Hubside Jumping – CSI 3* et 4*, 2* et 3*, etc. – est rare et très apprécié », reprend Philippe Rozier. « Nous pouvons emmener six chevaux, voire plus. Nous restons généralement deux semaines sur place, avec un large piquet de chevaux, du cheval de tête au jeune cheval. Les épreuves ranking comptant pour le classement mondial Longines sont aussi une chance pour notre calendrier sportif. L’autre avantage des circuits Hubside Jumping est la sélection pour le Grand Prix du dimanche. Lorsque nous avons la chance d’être invités ou sélectionnés, nous sommes assurés de pouvoir sauter le Grand Prix, ce qui est toujours une motivation supplémentaire et qui conforte notre programme sportif. Les très grandes pistes des circuits sont dignes d’un championnat et permettent de concourir aux normes olympiques, un must pour entraîner nos chevaux. » 

Avec la fin de l’année qui approche, il est à noter que tout cheval engagé doit avoir été enregistré auprès de la Fédération Équestre internationale avant le 15 janvier 2024 au nom d’un propriétaire (ayant une part d’1% minimum) ayant la même nationalité que le cavalier et que, s’il y a plusieurs propriétaires de nationalités différentes, le cheval doit être enregistré sous le nom de la nation qu’il représentera aux Jeux olympiques avant cette même date. Face à la pression financière, certains couples cavalier/cheval ne sont pas à l’abri d’un changement de selle… En attendant l’ultime décision, les cavaliers gardent la tête froide et poursuivent leurs programmes pour que leurs chevaux soient au meilleur de leur forme au moment opportun. Heureusement, « d’une manière générale, la France est privilégiée en termes d’événements sportifs, et les circuits Hubside Jumping s’intègrent parfaitement dans le paysage mondial du saut d’obstacles », conclut le champion olympique.

Plus d’infos :
Hubside Jumping.
Toutes les épreuves de l’Hubside Jumping seront retransmises en direct sur GRANDPRIX.tv.
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