“Si un étalon saillit beaucoup, c’est plutôt un frein pour moi”, Laurent Vincent (2/2)

Mis en lumière grâce à un “coup de chance inimaginable” nommé Vénard, qui performe sur les plus belles pistes du monde avec le Suisse Steve Guerdat, l’élevage de Cerisy reflète on ne peut mieux les valeurs de son fondateur, Laurent Vincent. Très attaché au Selle Français Originel, label que porte son meilleur ambassadeur, le Manchois, toujours installé dans la ferme qui l’a vu naître et grandir, continue ainsi à travailler avec un nombre modéré de poulinières personnelles, tout en accueillant bon nombre de reproductrices au sein de sa structure. Pour gérer la quarantaine de juments qui y poulinent, il peut désormais compter sur l’aide de sa fille, Gabrielle. À vingt-trois ans, celle-ci semble prête à marcher dans les traces de son père et de ses grands-parents.



La première partie est disponible ici.Un nouveau départ génétiqueDurant sa carrière de cavalier, puis d’éleveur, Laurent Vincent est resté installé à Cerisy-la-Forêt, dans la ferme qui l’a vu naître et dont il a repris les rênes en 2001. La structure, elle, a toutefois évolué. “Au début, il y avait vingt hectares et huit boxes”, rappelle-t-il. Une vingtaine de boxes supplémentaires ont ensuite été construits, puis transformés en stabulations lorsque l’homme derrière l’affixe “de Cerisy” s’est consacré à l’élevage. Désormais, ce sont sur environ cent trente hectares que...

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