Les nations du Golfe ont animé un mercato préolympique intense en janvier

Tous les quatre ans, à mesure que l’échéance olympique approche, le mercato qui la concerne alimente les conversations de paddock du monde entier. Le cru 2024 n’a pas fait exception et quelques transferts importants ont été réalisés à grands coups de millions, particulièrement en provenance des pays du Golfe. Parmi les plus éminents marchands de chevaux au monde, François Mathy évoque la santé économique du secteur et quelques récentes transactions faites en vue des Jeux olympiques de Paris 2024.



Quelques mois avant chaque édition des Jeux olympiques, l’étau se resserre et le marché des chevaux de grand sport se veut encore alors plus intense à l’approche de la date couperet, désormais établie au 15 janvier de l’année olympique. Passé cette date, les chevaux engagés pour les Jeux olympiques doivent en effet être détenus au moins en partie par des propriétaires de la même nationalité que celle de leur cavalier. Sans cet obligation, impossible de prendre part aux épreuves équestres des Jeux olympiques de Paris, du 26 juillet au 6 août. Si les transferts n’ont pas été légion au second semestre de 2023, le mercato s’...

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