“Nous devons continuer à travailler, collectivement et individuellement”, Henk Nooren
Dixième et huitième des deux premières étapes de la Ligue des nations Longines, mi-février à Abou Dabi et fin mars à Ocala, l’équipe de France de saut d’obstacles a entamé plutôt timidement sa campagne de préparation des Jeux olympiques de Paris 2024. Il n’y a pas péril en la demeure, parce qu’il y a des raisons d’espérer, mais force est de constater que d’autres nations sont plus avancées que le Coq. Henk Nooren, redevenu sélectionneur national en 2022, ne le conteste pas, estimant que ses troupes doivent encore travailler et espérant que ce travail paiera dans les jardins du château de Versailles. En ce début de printemps, le Néerlandais livre un point d’étape, dont voici le premier des deux épisodes.
Quel bilan général tirez-vous des deux premières étapes de la Ligue des nations Longines (LLN), qui se sont disputées en février à Abou Dabi et en mars à Ocala?Vu le scénario (la France n’a pas été retenue en seconde manche, terminant dixième, ndlr), il n’y a pas grand-chose à dire sur la première. La ligne comprenant le saut de la rivière a causé des problèmes à trois de nos quatre couples. La deuxième s’est un peu mieux passée (la France a terminé huitième après une bonne première manche et une élimination dans la seconde, liée à la séparation de corps de Kevin Staut et Beau de...
