Bamako de Muze, le parfum d’un succès discret (1/2)
Bamako de Muze n’a jamais été aussi tendance qu’à l’aube de ses vingt-trois ans. Quelque peu oublié par les éleveurs hexagonaux au profit de son frère utérin plus médiatique, Mylord Carthago, le joli bai n’en reste pas moins le digne héritier de la fabuleuse souche d’Ifrane, l’une des plus prolifiques de l’élevage français. Leur point commun: l’envie de bien faire. Une qualité que son naisseur, Joris de Brabander, retrouve aujourd’hui dans toute sa descendance, pour le plus grand bonheur des cavaliers.