“Ma proximité avec les éleveurs est peut-être liée au fait que je suis un petit-fils d'agriculteurs”, Nicolas Delmotte (2/3)

De retour au plus haut niveau après une période de reconstruction liée aux ventes des géniaux Urvoso du Roch et Dallas Vegas Batilly, Nicolas Delmotte semble avoir trouvé en Jordan Molga M le parfait partenaire pour réintégrer l’équipe de France. Acquis l’an passé avec un collectif d’investisseurs composé d’amis, de collaborateurs et au sein duquel le marchand Laurent Guillet figure au premier rang, le bai de dix ans aurait-il l’étoffe d’un cheval de championnats? Le Nordiste croit en son potentiel et travaille patiemment à le révéler, comme à son habitude. Sans dramatiser l’objectif des Jeux olympiques de Paris 2024, le cavalier de quarante-cinq ans, rencontré mi-avril à Compiègne Classic, s’est livré en toute détente, abordant de nombreux sujets.



La première partie de cet entretien est disponible ici.L’élevage du Châtellier a fait l’objet d’un article paru dans le numéro de septembre de GRANDPRIX. À cette occasion, la famille Lemasle n’a pas tari d’éloges à votre sujet, affirmant que vous étiez l’un des seuls cavaliers de haut niveau, à sa connaissance, à maintenir un véritable contact avec les éleveurs de vos montures. En quoi est-ce important pour vous?Les éleveurs occupent un rôle très important dans notre filière, tout simplement. Moi-même, j’ai un petit peu pratiqué cette activité. Enfin, j’ai essayé… (Rires) Franchement, il faut &ec...

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