“À Versailles, Santiago Varela et moi avons aussi eu un peu de chance, il faut l’avouer!”, Grégory Bodo (2/2)
Un mois et demi s’est déjà écoulé depuis le sacre de Christian Kukuk et Checker 47, les nouveaux champions olympiques de saut d’obstacles, le 6 août au stade équestre éphémère de Versailles. Pour autant, on n’est pas près d’oublier les quatre épreuves ayant abouti au couronnement de l’Allemand et à l’éclatant triomphe de l’équipe britannique, qui a partagé le podium avec les États-Unis, en argent, et la France, en bronze. Parmi les meilleurs souvenirs des athlètes et du public figurent le parc d’obstacles des Jeux de Paris 2024 et les parcours dessinés par l’Espagnol Santiago Varela Ullastres et Grégory Bodo, unanimement salués. Pour le Lorrain, âgé seulement de quarante-cinq ans, il y aura un avant et un après, mais il conserve les pieds sur terre et sa charge d’enseignant en école de commerce. Avant de rejoindre le Var, où il officiera dès jeudi au CSI 4* de Gassin, Grégory Bodo revient sur cet authentique succès. Une réussite forcément bénéfique à l’avenir olympique de l’équitation.