“Djibouti, Hatlantika et Gigi font partie des chevaux qui brillent plus que d’autres”, Bruno Rocuet (2/2)

Éleveur, marchand et cavalier, Bruno Rocuet, qui n’a certes plus concouru depuis 2020, est un homme aux nombreuses casquettes. Entre le retour de Djibouti de Kérizac avec sa fille Margaux, le départ de sa protégée Gigi, l’arrivée de Beau Gosse du Park sous la selle de Nicolas Layec, son cavalier de tête, la convalescence de Bulgarie d’Engandou ou encore les performances remarquables de la très prometteuse Hatlantika, Bruno Rocuet évoque les mouvements récents au sein de sa structure et livre des clés d’analyse du succès de l’écurie qu’il mène de main de maître, à Saint-Hélen, dans les Côtes-d’Armor.



Pas facile de dire au revoir à la bondissante Gigi

La première partie de cet article est à lire iciMarchand avant tout, Bruno Rocuet élève et valorise ses chevaux parce que rien ne le passionne plus dans la vie, mais aussi pour les vendre. Si l’avenir d’Hatlantika, la championne de France des sept ans en titre, ne semble pas encore scellé, Gigi (SF, Aktion Pur x Flipper d’Elle), une jument singulière à laquelle le Breton était particulièrement attaché, a quitté son box de Saint-Hélen le 11 août. Un mois et demi plus tard, le sexagénaire semble encore affecté par son départ: “Gigi est née chez moi de l’une de mes meilleures poulinières (La Luna du Thot, ndlr). Elle aussi, je l’...

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