Un cycle sportif s’éteint à la FFE, un autre va s’éveiller

La parenthèse enchantée des Jeux olympiques et paralympiques, qui s’est refermée le 6 septembre au Stade de France, marque toujours la fin d’un cycle pour toutes les parties prenantes des sports impliqués. C’est évidemment le cas de l’équitation, qui sort grandie et ragaillardie du rendez-vous planétaire de Paris 2024, et qui peut envisager avec confiance son avenir au programme olympique, qui plus est en vue des Jeux organisés en 2028 à Los Angeles, où ses épreuves devraient se dérouler au complexe équestre de Temecula, puis en 2032 à Brisbane, en Australie, nation de femmes et hommes de cheval rayonnant bien au-delà de l’Océanie. C’est évidemment aussi le cas de l’équitation tricolore, plus encore que d’habitude, du fait de la tenue de ces événements quadriennaux dans l’Hexagone.



Au départ, la Fédération française d’équitation (FFE) espérait voir ses couples remporter quatre médailles: deux collectives, en saut d’obstacles et concours complet, plus une individuelle dans l’une de ces deux disciplines, et une autre en para-dressage. À l’arrivée, il n’y en a eu “que” deux: l’argent par équipes en complet et le bronze par équipes en jumping. Cependant, la FFE n’est pas passée loin d’atteindre son objectif, vu les quatrièmes places de Julien Épaillard et Dubaï du Cèdre en saut, ainsi que de Vladimir Vinchon et Pégase Mayenne dans l’épreuve Individuelle du Grade IV et de Chiara Zenati...

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