Morgan Barbançon-Mestre : “Du Gus tout craché !”
Voici la réaction de Morgan Barbançon-Mestre à l’issue du Grand Prix Spécial des championnats d’Europe Longines de Rotterdam, qu’elle a conclu avec 69,468% sur Sir Donnerhall II :
“C’était du Gus (le surnom de Sir Donnerhall II, ndlr) tout craché ! Tout lui quand il n’a rien envie de faire et que je dois trouver n’importe quel moyen pour le faire bouger à chaque moment de la reprise. C’était assez difficile, et l’épreuve m’a parue interminable. Il a enchainé faute sur faute, donc j’ai essayé de gagner un maximum de points où c’était possible afin que l'on ne finisse pas derniers. Contrairement à mardi après le Grand Prix, aujourd’hui je ne suis vraiment pas contente. Hier il était fantastique, et même aujourd’hui pendant l’échauffement. Mais en entrant en piste, il a dit non. Il est comme ça ! Quand il va bien, il donne tout, mais quand il n’est pas motivé il n’y a rien à faire. Je n’ai pas lâché le morceau, mais j’ai transpiré (rires). Quoi qu’il en soit, c’est déjà énorme d’être ici et Gus a rempli son contrat mardi pendant le Grand Prix. Aujourd’hui, cela aurait été juste un bonus.
J’ai hâte d’aborder la saison indoor, parce que c’est vraiment son truc. Il connait le Grand Prix et la Kur sur le bout des doigts. Je veux me concentrer à fond sur la finale de la Coupe du monde et gagner des points afin de me qualifier pour la finale de Las Vegas. Je voudrais aussi obtenir une qualification individuelle pour les Jeux olympiques de Tokyo avec Bolero. Il a eu droit à une pause car il a beaucoup fait cette saison et que je me suis concentrée sur Gus pour les championnats d’Europe. Si j’arrive à avoir une place pour Tokyo, ce sera définitivement avec Bolero tandis que Gus ferait la finale de la Coupe du monde. Il est fait pour ça. Quant à lui, Bolero est vraiment un véritable cheval de championnats. Il a beaucoup plus de points forts pour ce format, et a notamment plus d’énergie pour tenir toute une semaine. Quoi qu’il en soit, je suis contente de mon championnat, on va désormais regarder de l’avant.”
“C’était du Gus (le surnom de Sir Donnerhall II, ndlr) tout craché ! Tout lui quand il n’a rien envie de faire et que je dois trouver n’importe quel moyen pour le faire bouger à chaque moment de la reprise. C’était assez difficile, et l’épreuve m’a parue interminable. Il a enchainé faute sur faute, donc j’ai essayé de gagner un maximum de points où c’était possible afin que l'on ne finisse pas derniers. Contrairement à mardi après le Grand Prix, aujourd’hui je ne suis vraiment pas contente. Hier il était fantastique, et même aujourd’hui pendant l’échauffement. Mais en entrant en piste, il a dit non. Il est comme ça ! Quand il va bien, il donne tout, mais quand il n’est pas motivé il n’y a rien à faire. Je n’ai pas lâché le morceau, mais j’ai transpiré (rires). Quoi qu’il en soit, c’est déjà énorme d’être ici et Gus a rempli son contrat mardi pendant le Grand Prix. Aujourd’hui, cela aurait été juste un bonus.
J’ai hâte d’aborder la saison indoor, parce que c’est vraiment son truc. Il connait le Grand Prix et la Kur sur le bout des doigts. Je veux me concentrer à fond sur la finale de la Coupe du monde et gagner des points afin de me qualifier pour la finale de Las Vegas. Je voudrais aussi obtenir une qualification individuelle pour les Jeux olympiques de Tokyo avec Bolero. Il a eu droit à une pause car il a beaucoup fait cette saison et que je me suis concentrée sur Gus pour les championnats d’Europe. Si j’arrive à avoir une place pour Tokyo, ce sera définitivement avec Bolero tandis que Gus ferait la finale de la Coupe du monde. Il est fait pour ça. Quant à lui, Bolero est vraiment un véritable cheval de championnats. Il a beaucoup plus de points forts pour ce format, et a notamment plus d’énergie pour tenir toute une semaine. Quoi qu’il en soit, je suis contente de mon championnat, on va désormais regarder de l’avant.”