Première masterclass de para-dressage au Parc équestre fédéral
La Fédération française d’équitation (FFE) a organisé au Parc équestre fédéral de Lamotte-Beuvron un stage de l’équipe de France de para-dressage du mardi 5 au jeudi 7 février. Après deux jours de travail avec Philippe Célerier, sélectionneur national, Carlos Lopes, formateur et Joseph Baud, juge international de para-dressage, un check-up vétérinaire a été effectué par Emmanuelle Druoton, vétérinaire fédérale. Le dernier jour a été consacré à une compétition sur la reprise Team Test au terme de laquelle les Groupes 1 et 2 ont été déterminés. Pour l’heure, Amandine Mazzoni et Verden d’Hanovre, ainsi que Cloé Mislin et Don Caruso font partie du Groupe 1 tandis que Camille Jaguelin et Wimke ont intégré le Groupe 2.
Fanny Delaval, CTN pour le para-dressage : “Nous avions convoqué neuf couples, mais certains ne pouvaient pas être présent en raison d’une méforme de leur cheval. Les cavaliers ont bien accueilli ce nouveau projet de masterclass qu’on leur a proposé cette année même si ça leur a mis un peu de pression. Notre but est de les faire arriver sur leur première compétition internationale de l’année, mieux préparés que d’habitude. Ils auront déjà déroulé devant un juge avec une note finale. On est vraiment dans la réalité des choses. Ça leur permet aussi de voir où ils en sont à un moment donné. Selon leur performance, il faudra continuer à travailler pour se présenter la prochaine fois et gagner plus de points”.
Camille Jaguelin : “Depuis le mois d’août je suis retourné chez moi à côté de Toulon où je travaille avec Ludovic Martin. Ma jument a beaucoup évolué, elle est beaucoup plus calme et plus posée. Pour cette nouvelle saison, je vais prendre les concours les uns après les autres, sans me mettre de pression. J’aimerais aussi faire des compétitions avec les valides afin de diversifier les figures. Le concept de masterclass est très bien. C’est génial de pouvoir travailler avec un juge comme Carlos Lopes, ça permet d’avoir deux regards extérieurs avec celui de Philippe Célerier. Ils se complètent et nous apportent chacun des solutions. Tout est mis en œuvre pour que l’équipe de France progresse notamment en vue des Jeux olympiques de Paris”.
Cloé Mislin : “La Masterclass permet de nous entraîner sur une des reprises pour la saison avec un juge FEI. Le but est d’augmenter les performances et de motiver les troupes. Ce nouveau système nous permet aussi combler un vide qui existait entre la fin de saison à Saint-Lô pour le championnat de France et le premier international en avril. Même si on avait des stages, on n’avait pas forcément de mise en situation”.
Amandine Mazzoni : “Je trouve que cette masterclass est une belle initiative de la FFE. C’est idéal d’avoir ces deux jours d’entraînement avec Carlos Lopes et Philippe Célerier et conclure sur une compétition, ça nous met vraiment dans les conditions d’un concours. On a déjà bien été aiguillés dans le travail en décembre lors du premier stage. Maintenant ils regardent si on a bien suivi leurs conseils et nous aident à rectifier les erreurs. Bien sûr il y a un peu de stress car on a envie de bien faire mais dans tous les cas tout ce dispositif ne peut que nous faire progresser”.
Après la mise en situation chaque cavalier a été reçu individuellement par le staff fédéral, le formateur Carlos Lopes et Joseph Baud, juge international de para-dressage qui a évalué le test. Ils ont ainsi pu débriefer les reprises présentées par chacun, mettre en valeur le travail fourni, les points forts et les axes de progression. Avec bienveillance, les critères de notation et attentes des juges en compétition internationale ont été expliqué à chacun en fonction de son grade.
Cavaliers et chevaux repartent de ces trois jours avec des axes de travail et se retrouveront pour la seconde masterclass au Parc équestre fédéral du 19 au 21 mars.
Fanny Delaval, CTN pour le para-dressage : “Nous avions convoqué neuf couples, mais certains ne pouvaient pas être présent en raison d’une méforme de leur cheval. Les cavaliers ont bien accueilli ce nouveau projet de masterclass qu’on leur a proposé cette année même si ça leur a mis un peu de pression. Notre but est de les faire arriver sur leur première compétition internationale de l’année, mieux préparés que d’habitude. Ils auront déjà déroulé devant un juge avec une note finale. On est vraiment dans la réalité des choses. Ça leur permet aussi de voir où ils en sont à un moment donné. Selon leur performance, il faudra continuer à travailler pour se présenter la prochaine fois et gagner plus de points”.
Camille Jaguelin : “Depuis le mois d’août je suis retourné chez moi à côté de Toulon où je travaille avec Ludovic Martin. Ma jument a beaucoup évolué, elle est beaucoup plus calme et plus posée. Pour cette nouvelle saison, je vais prendre les concours les uns après les autres, sans me mettre de pression. J’aimerais aussi faire des compétitions avec les valides afin de diversifier les figures. Le concept de masterclass est très bien. C’est génial de pouvoir travailler avec un juge comme Carlos Lopes, ça permet d’avoir deux regards extérieurs avec celui de Philippe Célerier. Ils se complètent et nous apportent chacun des solutions. Tout est mis en œuvre pour que l’équipe de France progresse notamment en vue des Jeux olympiques de Paris”.
Cloé Mislin : “La Masterclass permet de nous entraîner sur une des reprises pour la saison avec un juge FEI. Le but est d’augmenter les performances et de motiver les troupes. Ce nouveau système nous permet aussi combler un vide qui existait entre la fin de saison à Saint-Lô pour le championnat de France et le premier international en avril. Même si on avait des stages, on n’avait pas forcément de mise en situation”.
Amandine Mazzoni : “Je trouve que cette masterclass est une belle initiative de la FFE. C’est idéal d’avoir ces deux jours d’entraînement avec Carlos Lopes et Philippe Célerier et conclure sur une compétition, ça nous met vraiment dans les conditions d’un concours. On a déjà bien été aiguillés dans le travail en décembre lors du premier stage. Maintenant ils regardent si on a bien suivi leurs conseils et nous aident à rectifier les erreurs. Bien sûr il y a un peu de stress car on a envie de bien faire mais dans tous les cas tout ce dispositif ne peut que nous faire progresser”.
Après la mise en situation chaque cavalier a été reçu individuellement par le staff fédéral, le formateur Carlos Lopes et Joseph Baud, juge international de para-dressage qui a évalué le test. Ils ont ainsi pu débriefer les reprises présentées par chacun, mettre en valeur le travail fourni, les points forts et les axes de progression. Avec bienveillance, les critères de notation et attentes des juges en compétition internationale ont été expliqué à chacun en fonction de son grade.
Cavaliers et chevaux repartent de ces trois jours avec des axes de travail et se retrouveront pour la seconde masterclass au Parc équestre fédéral du 19 au 21 mars.