La filière normande a rencontré Hervé Morin
Après quatre jours de confinement, le Conseil des chevaux de Normandie, première région équine de France, a tenu à faire un point avec l’ensemble des professionnels de la filière. Voici le contenu de son message.
«La filière équine est, comme beaucoup d’autres secteurs, à l’arrêt, malgré le maintien de l’approvisionnement en nourriture et l’accès aux soins d'urgence: arrêt des courses et des compétitions ; fermeture des centres équestres et pensions; manque de personnel disponible dans de nombreuses structures; report des actes de soins non urgents; grandes difficultés pour l’élevage, les suivis gynécologiques n’étant plus recommandés par l’Ordre national des vétérinaires, même si le transport des juments à titre professionnel et les saillies sont pour l’instant encore possible dans le respect de protocoles sanitaires renforcés. Nous savons la situation extrêmement compliquée, notamment pour les entreprises déjà en difficultés : centres équestres privés de revenus, indépendants interdits d'exercer leur activité, entraîneurs ne pouvant parfois plus accéder à des infrastructures, ni espérer obtenir de gains en courses. Nous connaissons également vos inquiétudes concernant les charges régulières malgré tout générées par les chevaux et leur perte de condition sportive quand la gestion des ressources humaines est complexe.
Nous avons synthétisé les informations pratiques utiles aux professionnels du cheval en Normandie, tant sur les questions pratiques que sur les dispositifs mis en place pour les soutenir. Cette page étant actualisée fréquemment, nous vous invitons à la consulter régulièrement.
Par ailleurs, le Conseil des chevaux de Normandie a représenté la filière équine dans la première réunion de crise avec Hervé Morin, président de la région Normandie, pour faire remonter les besoins du terrain et veiller à ce que la filière équine soit bien présente dans les plans de sauvegarde des entreprises. Nous avons aussi mis en place un formulaire vous permettant de nous faire part de vos interrogations et problématiques et vous invitons à le compléter. Il est accessible ici.»
«La filière équine est, comme beaucoup d’autres secteurs, à l’arrêt, malgré le maintien de l’approvisionnement en nourriture et l’accès aux soins d'urgence: arrêt des courses et des compétitions ; fermeture des centres équestres et pensions; manque de personnel disponible dans de nombreuses structures; report des actes de soins non urgents; grandes difficultés pour l’élevage, les suivis gynécologiques n’étant plus recommandés par l’Ordre national des vétérinaires, même si le transport des juments à titre professionnel et les saillies sont pour l’instant encore possible dans le respect de protocoles sanitaires renforcés. Nous savons la situation extrêmement compliquée, notamment pour les entreprises déjà en difficultés : centres équestres privés de revenus, indépendants interdits d'exercer leur activité, entraîneurs ne pouvant parfois plus accéder à des infrastructures, ni espérer obtenir de gains en courses. Nous connaissons également vos inquiétudes concernant les charges régulières malgré tout générées par les chevaux et leur perte de condition sportive quand la gestion des ressources humaines est complexe.
Nous avons synthétisé les informations pratiques utiles aux professionnels du cheval en Normandie, tant sur les questions pratiques que sur les dispositifs mis en place pour les soutenir. Cette page étant actualisée fréquemment, nous vous invitons à la consulter régulièrement.
Par ailleurs, le Conseil des chevaux de Normandie a représenté la filière équine dans la première réunion de crise avec Hervé Morin, président de la région Normandie, pour faire remonter les besoins du terrain et veiller à ce que la filière équine soit bien présente dans les plans de sauvegarde des entreprises. Nous avons aussi mis en place un formulaire vous permettant de nous faire part de vos interrogations et problématiques et vous invitons à le compléter. Il est accessible ici.»