Grand débat : le Conseil du cheval d’Île-de-France se mobilise
La filière équine aurait tort de ne pas prendre part au «grand débat» ouvert à l’initiative du Gouvernement. Pour permettre à ses acteurs de s’exprimer, d’émettre des propositions et remarques, le Conseil du cheval d’Île-de-France a ouvert un cahier de doléances.
Depuis l’ouverture du « grand débat», à l’initiative du Gouvernement, le Conseil du cheval d’Île-de-France (CCIDF) entend porter la voix de la filière équine dans le but de mettre en lumière les préoccupations et propositions de ses acteurs. Troisième sport français, l’équitation est, par l’intermédiaire du cheval, moteur d’activités diversifiées, portant une influence sur l’économie et les emplois ruraux. Par ailleurs, l’équidé est aussi un déterminant environnemental dans la sauvegarde des pâturages et de la biodiversité.
Un cahier de doléances, remis aux commanditaires régionaux concernés, permettra de mettre en lumière, par l’intermédiaire de différents collèges, des recommandations concernant les milieux des courses, du sport, de l’élevage et de l’agriculture, de l’utilisation et de la transformation de l’animal, mais également relatives à la formation, l’art et la communication. Les réflexions fondamentales portant notamment sur la TVA, la question du bien-être du cheval, la fusion de la SHF et de la FFE ou encore sur la mutualisation des charges de fonctionnement concernant les courses hippiques, y sont déjà rapportées par les différents collèges. Cette démarche défend particulièrement l’idée d’une restructuration de la filière équestre dans le sens d’une régionalisation.
Les différents acteurs de la filière équestre sont dès à présent invités à proposer leurs remarques à destination d’un ou plusieurs de ces collèges. Ils pourront s’exprimer jusqu’au 15 mars 2019, après quoi le cahier de doléances sera clos.
Les acteurs franciliens de la filière sont invités à s’adresser par courriel à François Lucas, président du CCIDF: [email protected]
Depuis l’ouverture du « grand débat», à l’initiative du Gouvernement, le Conseil du cheval d’Île-de-France (CCIDF) entend porter la voix de la filière équine dans le but de mettre en lumière les préoccupations et propositions de ses acteurs. Troisième sport français, l’équitation est, par l’intermédiaire du cheval, moteur d’activités diversifiées, portant une influence sur l’économie et les emplois ruraux. Par ailleurs, l’équidé est aussi un déterminant environnemental dans la sauvegarde des pâturages et de la biodiversité.
Un cahier de doléances, remis aux commanditaires régionaux concernés, permettra de mettre en lumière, par l’intermédiaire de différents collèges, des recommandations concernant les milieux des courses, du sport, de l’élevage et de l’agriculture, de l’utilisation et de la transformation de l’animal, mais également relatives à la formation, l’art et la communication. Les réflexions fondamentales portant notamment sur la TVA, la question du bien-être du cheval, la fusion de la SHF et de la FFE ou encore sur la mutualisation des charges de fonctionnement concernant les courses hippiques, y sont déjà rapportées par les différents collèges. Cette démarche défend particulièrement l’idée d’une restructuration de la filière équestre dans le sens d’une régionalisation.
Les différents acteurs de la filière équestre sont dès à présent invités à proposer leurs remarques à destination d’un ou plusieurs de ces collèges. Ils pourront s’exprimer jusqu’au 15 mars 2019, après quoi le cahier de doléances sera clos.
Les acteurs franciliens de la filière sont invités à s’adresser par courriel à François Lucas, président du CCIDF: [email protected]