Incendie meurtrier au haras de la Clairière
Dans la nuit de vendredi à samedi, un incendie a frappé le haras de la Clairière, situé près de Rambouillet. Un jeune palefrenier soigneur, tout juste arrivé et hébergé à sa demande, n’a pas survécu.
Il semble que ce soit une poubelle qui soit à l’origine du drame. Le feu se serait ensuite propagé à une cuve à fioul attenante à la longère de bois abritant l’intégralité de l’équipe du haras. "C’est la chef d’écurie qui a donné l’alerte", raconte Marine, la fille de Catherine et François Roemer, les propriétaires du haras de La Clairière. "Elle a entendu un cheval s’agiter dans les écuries et a décidé de se lever. Elle a pu prévenir l’équipe de ce qui se passait. Malheureusement, il était déjà trop tard pour le jeune Nicolas, que nous hébergions ce soir-là dans l’appartement à l’étage." Le jeune homme, qui venait d'effectuer deux demi-journées d’essai, devait prendre son post aujourd’hui même et était logé sur place à sa demande ce soir-là.
Aucune victime n’est à déplorer parmi les chevaux qui ont tout pu être pris en charge à temps. "Tous les chevaux proches du feu ont été éloignés", explique Marine Roemer. "Les quatre-vingt chevaux vont bien et les installations de travail n’ont pas été touchées. Des clients se sont présenté le samedi pour prendre leurs cours habituels, et beaucoup d’entre eux ont tenu à nous aider en découvrant ce qui était arrivé. Nous devons maintenir l’activité du haras, même si nous sommes tous très choqués."
Les propriétaires et l’équipe du haras de La Clairière tiennent à s’associer à la douleur de la famille du jeune Nicolas, et à remercier la solidarité des personnes leur apportant leur aide dans cette épreuve difficile.
Il semble que ce soit une poubelle qui soit à l’origine du drame. Le feu se serait ensuite propagé à une cuve à fioul attenante à la longère de bois abritant l’intégralité de l’équipe du haras. "C’est la chef d’écurie qui a donné l’alerte", raconte Marine, la fille de Catherine et François Roemer, les propriétaires du haras de La Clairière. "Elle a entendu un cheval s’agiter dans les écuries et a décidé de se lever. Elle a pu prévenir l’équipe de ce qui se passait. Malheureusement, il était déjà trop tard pour le jeune Nicolas, que nous hébergions ce soir-là dans l’appartement à l’étage." Le jeune homme, qui venait d'effectuer deux demi-journées d’essai, devait prendre son post aujourd’hui même et était logé sur place à sa demande ce soir-là.
Aucune victime n’est à déplorer parmi les chevaux qui ont tout pu être pris en charge à temps. "Tous les chevaux proches du feu ont été éloignés", explique Marine Roemer. "Les quatre-vingt chevaux vont bien et les installations de travail n’ont pas été touchées. Des clients se sont présenté le samedi pour prendre leurs cours habituels, et beaucoup d’entre eux ont tenu à nous aider en découvrant ce qui était arrivé. Nous devons maintenir l’activité du haras, même si nous sommes tous très choqués."
Les propriétaires et l’équipe du haras de La Clairière tiennent à s’associer à la douleur de la famille du jeune Nicolas, et à remercier la solidarité des personnes leur apportant leur aide dans cette épreuve difficile.