CSI 5* Palm Beach : L’Irlandais Jordan Coyle prend les commandes
La grosse épreuve du vendredi 13 mars à Palm Beach, est tombée dans les mains de l’Irlandais Jordan Coyle. Juché sur Eristov, un hongre de 11 ans par Cicero Z van Paemel avec une mère par Concorde, le pilote de 27 ans a été le plus rapide des 56 couples au départ de cette épreuve de vitesse, cotée à 1,55m et dessinée par Alan Wade. “Ca ne faisait pas vraiment partie du plan ; cette saison [nous avons eu] quelques contretemps. En temps normal, ce ne serait pas une épreuve pour [Eristov]. Le [Grand Prix de la finale des Palm Beach Masters de dimanche] le serait. Mais avec tout ce qu’il s’est passé, j’ai pensé qu’il fallait que j’y aille aujourd’hui, et que j’essaie de gagner”, a confié le lauréat du jour, ravi de cette victoire inattendue. Grâce à l’immense foulée de sa monture, l’Irlandais a pu gagner du temps sur la piste en herbe, surtout après avoir observé les parcours de ses concurrents. “Il adore les pistes en herbe et aime pouvoir retirer des foulées ; c’est juste plus simple pour lui, a analysé Jordan Coyle. Quand nous devons faire les bons contrats de foulées tout le temps, ça demande beaucoup de contrôle. Je n’ai pas beaucoup de contrôle sur lui la plupart du temps.”
Avec son KWPN, déjà lauréat du Grand Prix CSI 4*-W de Leon l’an passé, Jordan Coyle a été le détonateur de la délégation irlandaise. Les vestes vertes ont en effet eu les honneurs hier outre-Atlantique, se classant troisième et quatrième. Si Ben Maher ne s’était pas immiscé à la deuxième place, ils auraient trusté l’intégralité du podium. Mais le Britannique, en selle sur son meilleur cheval, Explosion W, lauréat du Super Grand Prix de Prague en fin d’année dernière, et vice champion d’Europe en titre l’été dernier à Rotterdam, n’avait pas l’intention de laisser passer sa chance. Malgré plus d’une seconde de retard sur le lauréat du jour, Ben Maher a su dépasser Billy Twomey, troisième avec Lady Lou, et le supersonique Bertram Allen, qui pilotait pour l’occasion Gun Powder.
Les résultats complets ici.
Un peu plus tôt hier, Sergio Alvarez Moya et Charmeur ont fait retentir l’hymne espagnol pour leur deuxième victoire aux Palm Beach Masters, édition 2020. L’hispanique a été le meilleur des 36 couples au départ de cette épreuve de vitesse à 1,45m, devançant Armanda Derbyshire, associée à Lady Maria BH, et l’Egyptien Nayel Nassar, troisième aux rênes d’Igor van de Wittemoere. “[Charmeur] apprécie d’aller vite. Je savais que McLain (Ward, ndlr) passait après moi [aujourd’hui, et qu’il] avait aussi un cheval naturellement rapide. Alors je me suis dit ‘Je dois essayer du numéro 1 au dernier, a confié Sergio Alvarez Moya. [Charmeur] n’est pas le cheval avec le plus de moyens, mais il est extrêmement respectueux et c’est un vrai battant ; il ne baisse jamais les bras. [...] Il a une forte personnalité ; on peut vraiment dire ce qu’il aime ou n’aime pas !”
Les résultats complets ici.
Avec son KWPN, déjà lauréat du Grand Prix CSI 4*-W de Leon l’an passé, Jordan Coyle a été le détonateur de la délégation irlandaise. Les vestes vertes ont en effet eu les honneurs hier outre-Atlantique, se classant troisième et quatrième. Si Ben Maher ne s’était pas immiscé à la deuxième place, ils auraient trusté l’intégralité du podium. Mais le Britannique, en selle sur son meilleur cheval, Explosion W, lauréat du Super Grand Prix de Prague en fin d’année dernière, et vice champion d’Europe en titre l’été dernier à Rotterdam, n’avait pas l’intention de laisser passer sa chance. Malgré plus d’une seconde de retard sur le lauréat du jour, Ben Maher a su dépasser Billy Twomey, troisième avec Lady Lou, et le supersonique Bertram Allen, qui pilotait pour l’occasion Gun Powder.
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Un peu plus tôt hier, Sergio Alvarez Moya et Charmeur ont fait retentir l’hymne espagnol pour leur deuxième victoire aux Palm Beach Masters, édition 2020. L’hispanique a été le meilleur des 36 couples au départ de cette épreuve de vitesse à 1,45m, devançant Armanda Derbyshire, associée à Lady Maria BH, et l’Egyptien Nayel Nassar, troisième aux rênes d’Igor van de Wittemoere. “[Charmeur] apprécie d’aller vite. Je savais que McLain (Ward, ndlr) passait après moi [aujourd’hui, et qu’il] avait aussi un cheval naturellement rapide. Alors je me suis dit ‘Je dois essayer du numéro 1 au dernier, a confié Sergio Alvarez Moya. [Charmeur] n’est pas le cheval avec le plus de moyens, mais il est extrêmement respectueux et c’est un vrai battant ; il ne baisse jamais les bras. [...] Il a une forte personnalité ; on peut vraiment dire ce qu’il aime ou n’aime pas !”
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