Victor ne concourra plus
Décidemment, les annonces de retraites sportives pleuvent ces dernières semaines. Après Bonne Chance CW, Fibonacci, Corbinian, c’est au tour de Victor de s’éloigner définitivement des terrains de compétition. Âgé de dix-sept ans, le fils d’Elshorm a réalisé toute sa carrière internationale sous la selle de la Canadienne Tiffany Foster, avec laquelle il s’est distingué en s’imposant dans les Coupes des nations CSIO 4* de Wellington et Ocala en 2014 et 2017. La Canadienne perd là une nouvelle cartouche de taille, quelques semaines seulement après l’annonce de la fin de carrière de son olympique Tripple X III.
La protégée d’Éric Lamaze est revenue sur l’histoire qui la lie avec Victor : “Victor a été le tout premier cheval qu’Andy et Carlene Ziegler ont acheté pour Éric Lamaze. Il avait été acquis par l’intermédiaire de Meredith et Michaels Beerbaum à sept ans, en 2006. Il devait initialement être cédé à quelqu’un d’autre, mais cela est tombé à l’eau à la dernière minute, donc Artisan Farms a sauté sur l’occasion pour l’acheter avec Torrey Pines Stable (la structure d’Éric Lamaze, ndlr). Éric l’a monté les six premiers mois, avant de me laisser les rênes pendant qu’il était en Europe avec son piquet de chevaux plus expérimenté. Victor et moi nous sommes entendus dès le début, et lorsque nous sommes allés à Spruce Meadows, Éric a regardé l’un de nos parcours et a dit à Andy et Carlene que parfois un cavalier et un cheval sont faits pour être ensemble, et qu’il s’agissait de cela entre nous. Andy et Carlene ont accepté de me laisser le monter, et cela a été le point de départ d’un tournant dans ma carrière […] Victor m’a emmenée jusqu’à ma première victoire sur la piste internationale de Spruce Meadows, à mes premiers Jeux olympiques à Londres, à mon premier double zéro en Coupe des nations, avant d’en faire quatre de plus pour le Canada. […] Il m’a appris à concourir et à prendre des risques, mais par-dessus tout, il m’a enseigné l’art de devenir la meilleure amie d’un cheval. Je n’oublierai jamais ce qu’il a fait pour moi et je chérirai toujours les dis années que nous avons partagés. Nous allons tenter de lui rendre ces années de bons et loyaux services en lui offrant une retraite idéale dans notre écurie en Belgique. Merci aux Ziegler, à Éric, à Caro d’avoir autant pris soin de lui, et par-dessus tout, MERCI VICTOR”.
La protégée d’Éric Lamaze est revenue sur l’histoire qui la lie avec Victor : “Victor a été le tout premier cheval qu’Andy et Carlene Ziegler ont acheté pour Éric Lamaze. Il avait été acquis par l’intermédiaire de Meredith et Michaels Beerbaum à sept ans, en 2006. Il devait initialement être cédé à quelqu’un d’autre, mais cela est tombé à l’eau à la dernière minute, donc Artisan Farms a sauté sur l’occasion pour l’acheter avec Torrey Pines Stable (la structure d’Éric Lamaze, ndlr). Éric l’a monté les six premiers mois, avant de me laisser les rênes pendant qu’il était en Europe avec son piquet de chevaux plus expérimenté. Victor et moi nous sommes entendus dès le début, et lorsque nous sommes allés à Spruce Meadows, Éric a regardé l’un de nos parcours et a dit à Andy et Carlene que parfois un cavalier et un cheval sont faits pour être ensemble, et qu’il s’agissait de cela entre nous. Andy et Carlene ont accepté de me laisser le monter, et cela a été le point de départ d’un tournant dans ma carrière […] Victor m’a emmenée jusqu’à ma première victoire sur la piste internationale de Spruce Meadows, à mes premiers Jeux olympiques à Londres, à mon premier double zéro en Coupe des nations, avant d’en faire quatre de plus pour le Canada. […] Il m’a appris à concourir et à prendre des risques, mais par-dessus tout, il m’a enseigné l’art de devenir la meilleure amie d’un cheval. Je n’oublierai jamais ce qu’il a fait pour moi et je chérirai toujours les dis années que nous avons partagés. Nous allons tenter de lui rendre ces années de bons et loyaux services en lui offrant une retraite idéale dans notre écurie en Belgique. Merci aux Ziegler, à Éric, à Caro d’avoir autant pris soin de lui, et par-dessus tout, MERCI VICTOR”.