Grégory Bodo : “Un plateau de cavaliers et chevaux relevé”
Voici la réaction de Grégory Bodo à l’issue du Grand Prix CSI 3* Longines de la Région Normandie, dont il était le chef de piste :
“Le Grand Prix à 1,50m s’est inscrit dans la lignée des deux épreuves qualificatives. Nous avions un plateau de cavaliers et chevaux relevé. J’ai donc proposé un parcours technique avec une première combinaison en n°4 (vertical – vertical – oxer) qui nécessitait un peu de gymnastique pour bien préparer l’oxer de sortie. La première difficulté arrivait ensuite sur les obstacles n°5, 6 et 7 positionnés en serpentine. On arrivait ensuite sur l’avant-dernière séquence, avec un retour devant la porte d’entrée avec un vertical à 1,55m suivi de quatre foulées vers un oxer à 1,50m, suivi à sept foulées d’un vertical sur bidet aux couleurs de la Région. C’était une autre difficulté du parcours. Puis nous avions la ligne finale, dans une courbe. J’ai travaillé beaucoup les courbes pour que les cavaliers puissent avoir des options de foulées dans les lignes. La dernière combinaison était un double oxer – vertical, près du lac, qui pouvait poser quelques difficultés aux chevaux qui ont l’habitude de regarder. Puis nous avions sept ou huit foulées sur l’avant-dernier oxer, suivi de six foulées sur le vertical sur palanque à 1,55m, positionné devant la porte d’entrée. Le parcours était aéré dans le dessin et dans le mouvement en avant. Pour le barrage, nous avions sept obstacles pour huit efforts de saut. C’était un barrage très ouvert et très galopant”.
“Le Grand Prix à 1,50m s’est inscrit dans la lignée des deux épreuves qualificatives. Nous avions un plateau de cavaliers et chevaux relevé. J’ai donc proposé un parcours technique avec une première combinaison en n°4 (vertical – vertical – oxer) qui nécessitait un peu de gymnastique pour bien préparer l’oxer de sortie. La première difficulté arrivait ensuite sur les obstacles n°5, 6 et 7 positionnés en serpentine. On arrivait ensuite sur l’avant-dernière séquence, avec un retour devant la porte d’entrée avec un vertical à 1,55m suivi de quatre foulées vers un oxer à 1,50m, suivi à sept foulées d’un vertical sur bidet aux couleurs de la Région. C’était une autre difficulté du parcours. Puis nous avions la ligne finale, dans une courbe. J’ai travaillé beaucoup les courbes pour que les cavaliers puissent avoir des options de foulées dans les lignes. La dernière combinaison était un double oxer – vertical, près du lac, qui pouvait poser quelques difficultés aux chevaux qui ont l’habitude de regarder. Puis nous avions sept ou huit foulées sur l’avant-dernier oxer, suivi de six foulées sur le vertical sur palanque à 1,55m, positionné devant la porte d’entrée. Le parcours était aéré dans le dessin et dans le mouvement en avant. Pour le barrage, nous avions sept obstacles pour huit efforts de saut. C’était un barrage très ouvert et très galopant”.