Pénélope Leprévost : "Vancouver est génial !"
Voici la réaction de Pénélope Leprévost, deuxième du Grand Prix 5* de Dinard :
« Vancouver prend du métier, il arrive vraiment à maturité. L’année dernière je faisais un point de temps parce qu’il fallait que je prenne le temps de lui faire dégager ses postérieurs. Maintenant, il est génial ! Quand je rate des trucs, il est toujours là pour les rattraper. Par exemple aujourd’hui, j’ai fait deux foulées de moins après la rivière. Carrément ! (rires) J’avais peur de ne pas être dans le temps alors qu’on est rentrés avec cinq secondes d’avance. En fait, le terrain est tellement difficile avec les dénivelés que le chef de piste n’a pas besoin de mettre très haut. Alors les obstacles n’étaient pas énormes et heureusement. Ce classement me donne beaucoup de confiance en vue des championnats. Je crois que c’est difficile de passer du sable à l’herbe, mais l’inverse ne pose jamais de problème. Le seul inconvénient qu’il peut y avoir, ce sont la taille des terrains. Les pistes sur sable sont systématiquement plus petites. Pour ma part, j’aime vraiment ces concours en herbe. Il y en a de moins en moins, mais on adore ça. Pour nous cavaliers, quand on rentre en piste au galop sur ces terrains, c’est une vraie différence ! En plus, c’est clair qu’ici le public est extraordinaire. »
« Vancouver prend du métier, il arrive vraiment à maturité. L’année dernière je faisais un point de temps parce qu’il fallait que je prenne le temps de lui faire dégager ses postérieurs. Maintenant, il est génial ! Quand je rate des trucs, il est toujours là pour les rattraper. Par exemple aujourd’hui, j’ai fait deux foulées de moins après la rivière. Carrément ! (rires) J’avais peur de ne pas être dans le temps alors qu’on est rentrés avec cinq secondes d’avance. En fait, le terrain est tellement difficile avec les dénivelés que le chef de piste n’a pas besoin de mettre très haut. Alors les obstacles n’étaient pas énormes et heureusement. Ce classement me donne beaucoup de confiance en vue des championnats. Je crois que c’est difficile de passer du sable à l’herbe, mais l’inverse ne pose jamais de problème. Le seul inconvénient qu’il peut y avoir, ce sont la taille des terrains. Les pistes sur sable sont systématiquement plus petites. Pour ma part, j’aime vraiment ces concours en herbe. Il y en a de moins en moins, mais on adore ça. Pour nous cavaliers, quand on rentre en piste au galop sur ces terrains, c’est une vraie différence ! En plus, c’est clair qu’ici le public est extraordinaire. »
