Olivier Robert : “Vangog est un champion, je dois simplement m’améliorer”
Voici la réaction d’Olivier Robert, auteur de parcours à quatre puis dix points dans la Coupe des nations d’Aix-la-Chapelle sur Vangog du Mas Garnier, que la France a conclue à la troisième place :
“C’était une Coupe des nations magnifique ! Je ne peux rien me reprocher lors de la première manche, lors de laquelle mon cheval a fait une faute de postérieurs due à un manque de métier dans une telle configuration. Vangog a vraiment répondu présent. Lors de la deuxième manche, il était encore bien connecté. Il a même réalisé un meilleur saut sur le n°4 mais je l’ai laissé flotter en voulant lui donner un peu plus de place sur l’entrée du double. J’ai fait une faute technique, car au final, la distance était trop longue d’un mètre. Pour une première participation à une telle épreuve de nuit, ce n’est quand même pas rien… Une troisième place, c’est très bien. J’aurais pris énormément d’expérience avec Vangog dans cette épreuve.
Mon cheval a besoin de codes et nous avons ensemble une entente merveilleuse. C’est la première fois qu’il me fait un refus, et cela me donne une marge de manœuvre importante. Je ne suis pas inquiet pour l’avenir ! Vangog a une sensibilité que je ne lui connaissais pas. Cela fait de lui un grand cheval. En deuxième manche, il a formidablement bien relevé la tête après cette déconvenue. Ce cheval-là est un champion, je dois simplement m’améliorer. Entre La Baule et Estoril, on est à deux doigts d’une grande performance.
Le fait que Pénélope ait très bien lancé l’équipe dans chaque manche m’a peut-être mis un peu de pression. Je n’ai pas monté mon parcours, je l’ai peut-être un peu subi... En tout cas, voir Kevin Staut conclure sur un si beau sans-faute permet mesurer qui sont les bons cavaliers et qui sont les grands champions. Je crois qu’il est intouchable… Son cheval est somme toute normal, mais Kevin Staut ne l’est pas. Je ne parle même pas de champions comme Pénélope et Peder Fredricson… (rires)!”
“C’était une Coupe des nations magnifique ! Je ne peux rien me reprocher lors de la première manche, lors de laquelle mon cheval a fait une faute de postérieurs due à un manque de métier dans une telle configuration. Vangog a vraiment répondu présent. Lors de la deuxième manche, il était encore bien connecté. Il a même réalisé un meilleur saut sur le n°4 mais je l’ai laissé flotter en voulant lui donner un peu plus de place sur l’entrée du double. J’ai fait une faute technique, car au final, la distance était trop longue d’un mètre. Pour une première participation à une telle épreuve de nuit, ce n’est quand même pas rien… Une troisième place, c’est très bien. J’aurais pris énormément d’expérience avec Vangog dans cette épreuve.
Mon cheval a besoin de codes et nous avons ensemble une entente merveilleuse. C’est la première fois qu’il me fait un refus, et cela me donne une marge de manœuvre importante. Je ne suis pas inquiet pour l’avenir ! Vangog a une sensibilité que je ne lui connaissais pas. Cela fait de lui un grand cheval. En deuxième manche, il a formidablement bien relevé la tête après cette déconvenue. Ce cheval-là est un champion, je dois simplement m’améliorer. Entre La Baule et Estoril, on est à deux doigts d’une grande performance.
Le fait que Pénélope ait très bien lancé l’équipe dans chaque manche m’a peut-être mis un peu de pression. Je n’ai pas monté mon parcours, je l’ai peut-être un peu subi... En tout cas, voir Kevin Staut conclure sur un si beau sans-faute permet mesurer qui sont les bons cavaliers et qui sont les grands champions. Je crois qu’il est intouchable… Son cheval est somme toute normal, mais Kevin Staut ne l’est pas. Je ne parle même pas de champions comme Pénélope et Peder Fredricson… (rires)!”
